12-30-2006, 03:28 PM
La nuit des temps.
Sarel joue, comme à son habitude. Quelque soit l’endroit, l’heure ou le jeu, il s’amuse. C’est dans sa nature.
Mais c’est qu’il aime le plus, c’est aller sur Terre.
La Terre … Comment ne pas l’aimer ? Ses prairies, ses bois, ses lacs, ses glaciers … La Terre est un immense terrain de jeu pour Sarel et Galedel.
Galedel ? C’est son frère. La personne qu’il aime le plus au monde, après Dieu bien sûr.
Sarel et Galedel sont constamment ensembles, on dis au Paradis que rien ne pourrais les séparer.
Il ne sait pas si Galedel partage vraiment sa passion, ou s’il reste avec lui par amour, à contempler les humains.
Les humains. Ces créatures à l’image de leur Créateur, dit-on. Ils sont drôles. Tout fragiles, mais tellement passionnants. Sarel reste parfois des années entière à les observer, s’entre aider, se déchirer, se combattre …
Les humains, c’est le seul mot que Samael a à la bouche. Samael, il est sympa, mais un peu lourdaud des fois. En plus, c’est le chouchou de Papa et il en profite.
Mais bon, son idée est pas conne, Sarel ne comprend pas pourquoi son Père a engueulé Samael de cette façon. Justement, des humains surpuissants, c’est rigolo !
Et puis, c’est dans son caractère, il est un peu rebel. Alors quand Sam décide de monter une team de secours, Sarel en fait partie. Galedel le suit, bien entendu.
C’est alors qu’arrivé sur Terre, Sarel comprend l’ambition de Sam. Mais Sarel n’a pas que ça à foutre, violer d’la gueuse. Il part donc, seul, pour la première fois de son existence. Il traverse un monde en formation, et reste stupéfait de la beauté des montagnes.
Un matin, surprise. Galedel est là. Il a l’air anxieux, mais n’a pas réveillé Sarel.
« Galedel ?! Mais qu’est-ce que tu fous là ? J’avais bien dit … »
« Il faut repartir ! Vite ! Sam a fait une connerie, ça va barder, vient, on doit retourner à la maison ! »
Galedel, sa voix était tellement affolée. Sarel ne prend pas le temps de se préparer, ils retournent au Paradis.
C’est la débandade, Samael insulte devant tout le monde Dieu de fils de sa mère (alors qu’on sait tous que Dieu est orphelin). Les coincés du slips qui avaient pas voulu suivre se mettent à péter un cable.
Les anges se battent entre eux, à mort. C’est la première fois. Et c’est aussi la première fois que Sarel a peur. Alors il se cache, avec Galedel.
« Ne t’inquiètes pas Sary, je suis là. »
C’est pas grand chose, mais ça suffit à réconforter Sarel un court instant.
Un court instant. Le temps de voir apparaître Gaby, l’autre chouchou. Elle a la classe tout de même son épée tout en feu. Sarel ne comprend pas, Gabriel fonce vers eux, brandissant son épée. Sarel ferme les yeux. Il entend un cri. Il n’a pas le temps de les rouvrir.
Sarel joue, comme à son habitude. Quelque soit l’endroit, l’heure ou le jeu, il s’amuse. C’est dans sa nature.
Mais c’est qu’il aime le plus, c’est aller sur Terre.
La Terre … Comment ne pas l’aimer ? Ses prairies, ses bois, ses lacs, ses glaciers … La Terre est un immense terrain de jeu pour Sarel et Galedel.
Galedel ? C’est son frère. La personne qu’il aime le plus au monde, après Dieu bien sûr.
Sarel et Galedel sont constamment ensembles, on dis au Paradis que rien ne pourrais les séparer.
Il ne sait pas si Galedel partage vraiment sa passion, ou s’il reste avec lui par amour, à contempler les humains.
Les humains. Ces créatures à l’image de leur Créateur, dit-on. Ils sont drôles. Tout fragiles, mais tellement passionnants. Sarel reste parfois des années entière à les observer, s’entre aider, se déchirer, se combattre …
Les humains, c’est le seul mot que Samael a à la bouche. Samael, il est sympa, mais un peu lourdaud des fois. En plus, c’est le chouchou de Papa et il en profite.
Mais bon, son idée est pas conne, Sarel ne comprend pas pourquoi son Père a engueulé Samael de cette façon. Justement, des humains surpuissants, c’est rigolo !
Et puis, c’est dans son caractère, il est un peu rebel. Alors quand Sam décide de monter une team de secours, Sarel en fait partie. Galedel le suit, bien entendu.
C’est alors qu’arrivé sur Terre, Sarel comprend l’ambition de Sam. Mais Sarel n’a pas que ça à foutre, violer d’la gueuse. Il part donc, seul, pour la première fois de son existence. Il traverse un monde en formation, et reste stupéfait de la beauté des montagnes.
Un matin, surprise. Galedel est là. Il a l’air anxieux, mais n’a pas réveillé Sarel.
« Galedel ?! Mais qu’est-ce que tu fous là ? J’avais bien dit … »
« Il faut repartir ! Vite ! Sam a fait une connerie, ça va barder, vient, on doit retourner à la maison ! »
Galedel, sa voix était tellement affolée. Sarel ne prend pas le temps de se préparer, ils retournent au Paradis.
C’est la débandade, Samael insulte devant tout le monde Dieu de fils de sa mère (alors qu’on sait tous que Dieu est orphelin). Les coincés du slips qui avaient pas voulu suivre se mettent à péter un cable.
Les anges se battent entre eux, à mort. C’est la première fois. Et c’est aussi la première fois que Sarel a peur. Alors il se cache, avec Galedel.
« Ne t’inquiètes pas Sary, je suis là. »
C’est pas grand chose, mais ça suffit à réconforter Sarel un court instant.
Un court instant. Le temps de voir apparaître Gaby, l’autre chouchou. Elle a la classe tout de même son épée tout en feu. Sarel ne comprend pas, Gabriel fonce vers eux, brandissant son épée. Sarel ferme les yeux. Il entend un cri. Il n’a pas le temps de les rouvrir.