12-08-2006, 10:08 AM
Extrait du journal intime d'un chien :
Jour n° 180
8h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
9h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
9h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
midi : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
* effectuer un copier coller pour les jours 181, 182, 183 etc...
Extraits du journal d'un chat :
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets
pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au
dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La
seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une Évasion, et la
maigre satisfaction que je retire de détruire un meuble de temps à
autres. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant
dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra
que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans une tentative d'induire dégoût et répulsion chez ces vils
oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré.
Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, dans une tentative
de leur faire comprendre de quoi je suis capable, et pour frapper leurs
coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus
en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'Étais
un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune
raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus,
il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée
"shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma
seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes
dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenu une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été
placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le
bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils
appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information
que la raison de ma réclusion Était MON pouvoir "allergisant". Il va
falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à
mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou
peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et
semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle
constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres
mouvements.Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est
assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps....
Jour n° 180
8h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
9h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
9h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
midi : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
* effectuer un copier coller pour les jours 181, 182, 183 etc...
Extraits du journal d'un chat :
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets
pendouillant au bout d'une ficelle. Ils se gavent de viande fraîche au
dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées. La
seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une Évasion, et la
maigre satisfaction que je retire de détruire un meuble de temps à
autres. Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant
dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi. Il faudra
que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans une tentative d'induire dégoût et répulsion chez ces vils
oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré.
Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, dans une tentative
de leur faire comprendre de quoi je suis capable, et pour frapper leurs
coeurs de terreur. Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus
en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'Étais
un bon petit chat. Hmmm... Ca ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur sadisme. Sans aucune
raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus,
il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée
"shampooing". Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ? Ma
seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes
dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenu une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été
placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le
bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils
appellent "bière". Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information
que la raison de ma réclusion Était MON pouvoir "allergisant". Il va
falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à
mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou
peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et
semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle
constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres
mouvements.Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est
assurée. Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps....