11-15-2006, 09:36 AM
Le lendemain, Nathanael avait décidé de se promener à pied dans la ville. Il faisait bon, une légère petite brise venait caresser son visage. Il passa devant une église. Il regarda la façade pendant plusieurs minutes l’air songeur, devant les marches d’escalier. La dernière fois qu’il était rentré dans une église remonte à pas si loin que ça. Immac… cette ville qui regorgeait de surprises. Finalement, il rentra dans l’édifice et se dirigea vers le confessionnal.
Le Père Larbor le rejoignit quelques instants plus tard.
- Pardonnez-moi mon Père parce que j’ai pêché.
- Je vous écoute mon fils, reprit le Père.
Nathanael commença à lui raconter sa vie, comment sa femme l’avait quitté, comment il avait perdu le peu de foi qu’il avait, comment il avait succombé aux ravages de l’alcool, mais aussi comment il avait surmonté cela. Il lui raconta également qu’il avait succombé au pêché de chair, dans un bus sous les assauts répétés de deux ravissantes créatures, alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool. Il lui raconta également qu’il commençait à retrouver la foi, et le Père l’encouragea à continuer dans cette voie.
Il ne lui raconta pas qu’il avait vu un ange disparaître sous les assauts d’un démon griffu et cornu (entre autres évènements tout aussi inquiétants mais celui-ci avait été l’élément déclencheur). Il ne lui raconta pas qu’il avait rencontré des anges et que l’un d’eux l’avait mis au courant du Grand Jeu. Il ne lui raconta pas sa rencontre avec cette Elodie Masset, cette femme aux yeux brillants qui avait tenté de l’emboutir avec sa voiture. Bien sûr, il savait que le fait de transporter des anges y était pour beaucoup. Cette femme, ou ce démon plutôt avait osé l’attaquer sur sa faiblesse, l’alcool. Elle l’a ainsi conforté dans le fait qu’il avait choisi la bonne voie et qu’il devait lutter contre eux. Bien entendu, l’alcool, la drogue, le sexe, la gourmandise, la paresse, entre autres, tous ces éléments contribuent à corrompre l’être humain. Ceci dit, Sandra Demonceau avait bien fait son travail, et il sut alors qu’il devait lutter contre l’engeance démoniaque. Il l’a donc fait à son échelle. Cétait peu, très peu. Inutile même.
Nathanael sortit du confessionnal. Il avait l’air soulagé, mais un brin insatisfait. Il fit un signe de croix devant le Christ, s’assit quelques instants, non pas pour prier, mais pour s’accorder encore quelques temps de réflexion. Puis il sortit. L’air s’était alourdi, et des nuages noirs annonçaient une averse.
Il rentra chez lui.
Le Père Larbor le rejoignit quelques instants plus tard.
- Pardonnez-moi mon Père parce que j’ai pêché.
- Je vous écoute mon fils, reprit le Père.
Nathanael commença à lui raconter sa vie, comment sa femme l’avait quitté, comment il avait perdu le peu de foi qu’il avait, comment il avait succombé aux ravages de l’alcool, mais aussi comment il avait surmonté cela. Il lui raconta également qu’il avait succombé au pêché de chair, dans un bus sous les assauts répétés de deux ravissantes créatures, alors qu’il était sous l’emprise de l’alcool. Il lui raconta également qu’il commençait à retrouver la foi, et le Père l’encouragea à continuer dans cette voie.
Il ne lui raconta pas qu’il avait vu un ange disparaître sous les assauts d’un démon griffu et cornu (entre autres évènements tout aussi inquiétants mais celui-ci avait été l’élément déclencheur). Il ne lui raconta pas qu’il avait rencontré des anges et que l’un d’eux l’avait mis au courant du Grand Jeu. Il ne lui raconta pas sa rencontre avec cette Elodie Masset, cette femme aux yeux brillants qui avait tenté de l’emboutir avec sa voiture. Bien sûr, il savait que le fait de transporter des anges y était pour beaucoup. Cette femme, ou ce démon plutôt avait osé l’attaquer sur sa faiblesse, l’alcool. Elle l’a ainsi conforté dans le fait qu’il avait choisi la bonne voie et qu’il devait lutter contre eux. Bien entendu, l’alcool, la drogue, le sexe, la gourmandise, la paresse, entre autres, tous ces éléments contribuent à corrompre l’être humain. Ceci dit, Sandra Demonceau avait bien fait son travail, et il sut alors qu’il devait lutter contre l’engeance démoniaque. Il l’a donc fait à son échelle. Cétait peu, très peu. Inutile même.
Nathanael sortit du confessionnal. Il avait l’air soulagé, mais un brin insatisfait. Il fit un signe de croix devant le Christ, s’assit quelques instants, non pas pour prier, mais pour s’accorder encore quelques temps de réflexion. Puis il sortit. L’air s’était alourdi, et des nuages noirs annonçaient une averse.
Il rentra chez lui.