06-07-2006, 05:59 PM
Des nuages, un soleil factice toujours en flamme, une cité Eternelle, et les Champs Elysée [les voitures, le goudron et quelques hommes en moins.]
Le faux vent souffle faussement dans la fausse herbe qui n’a de matériel absolument rien. Les âmes pures se baladent tranquillement dans ce décor spirituel. Ou qu’importe. Bref. Vous voyez le tableau, c’est le principal. Sinon, ben… Tant pis.
Une scène. Un attroupement d’âme genre le purgatoire après les deux bombes. Où genre le purgatoire tous les jours, vous me direz. Des enceintes du Diable. Enfin, paradisiaque pardon. Un petit air histoire de garder la foule calme.
Mais on sent comme un murmure tandis que la lumière baisse (je suis le narrateur, je fais ce que je veux, et je vous emmerde.), comme une excitation (ohé, ça va hein, c’est pas tous les jours non plus que ça arrive ici haut.), une attente. Mais de quoi bon Dieu ?
« GRANDE JUEGO FURIA TOUR ! »
Et les cieux tremblèrent de la fureur de milliers de milliers de milliers de voix. Près d’une dizaine de milliers d’années d’âmes diverses et variées mais toutes pures hurlèrent d’un même cri, déclarant ainsi une Joie intense, bref, la monstration qu’ils étaient Biens, que la disette et la non fornication, au fond, ça valait le coup (le narrateur rejette toute exagération des faits.).
Les stars furent éclairées, le son était roi. La création résonnait et c’était Bon. Le public chauffait comme une bande de pain au chocolat dans le micro-onde. Un riff surchargé soulignait le délire de la foule, c’était beau, c’était divin. Puis un contraste énorme, le silence se couronne Empereur. La lumière est unique, et la Star une.
C’était l’Heure.
Les premières notes s’élèvent dans ce concert magistral, douces.
“… I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me ‘n you... *Pointe son doigt sur une âme dans la foule. Celle-ci hurle hystérique.*
And I think to my self ... What a wonderful world.”
“ I see skies of blue, cloods of white *Doigt décrivant un arc de cercle, pointé vers le ciel*
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to my self... What a wonderful world. “
“ The colours of the rainbow, so pretty in the sky *Explosion de couleurs flashouillantes et collantes à la rétine*
Are also on the faces of people going by... *Tronche du public de toutes les couleurs*
I see friends shaking hands *Animateurs dans la foule agitant les mains*, saying “How do you do?”
They really saying “I love you.” "*Gros coeur apparaissant dans le ciel, battant quelques instants, puis disparaissant*
“ I hear babies crying, I watch them grow,
They’ll learn much more than I’ll ever know
And I think to myself... What a wonderful world.
Yeah... I think to myself... What a wonderful world... Oh... yeaah...” *Final décroissant, lumière disparaissante*
Débute alors quelques secondes plus tard un air, celui de Mai Lan – Gentiment je t’immole pour ceux que ça intéresse. Une voix de femme, un silhouette de femme, un éclairage de folie.
"Tout doux, peu importe tu viens d'où
J'tendrais pas l'autre joue, fais pas d'bourdes
Enterres ta grand mère, pense pas à la Vengeance la chienne
'Arce que si t'y tiens, penses pu à ton père...
C'pas qu'j'te préviens, j'te crie pas d'sus
J'te signale juste, Enfant du Père
Qu'la colère s'ra jamais tienne . . .
Vulgaire comme l'oubli d'une veuf,
T'ramènes à un extrème, et ça d'vient grave
Près d'une massacrante, t'en fais un ulcère
Franchement oublie la, j'sais qu'ça t'emmerde
Mais c'est mortel, bordel
Ecrase la et protège tes reufs
D'c'qui t'pousse et t'bouffe, marre
Crève ta colère, t'en porteras pas plus mal...
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles.
Eteint la bombe, respire et déploies tes ailes
Une main sur le coeur du Paternel
N'aie pas peur pour ta mère, c'est net
Respire pour ta soeur, on va la protéger
Reste zen, sont pas d'ta trempe
Obtempère, t'es un ange, merde
Appelles à l'amour, la paix, la Foi, rejette l'odeur brûlée, âcre et pourrie du napalm...
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles.
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles... "
L’air et la foule manifestent leur joie dans un brouhaha incompréhensible.
Le faux vent souffle faussement dans la fausse herbe qui n’a de matériel absolument rien. Les âmes pures se baladent tranquillement dans ce décor spirituel. Ou qu’importe. Bref. Vous voyez le tableau, c’est le principal. Sinon, ben… Tant pis.
Une scène. Un attroupement d’âme genre le purgatoire après les deux bombes. Où genre le purgatoire tous les jours, vous me direz. Des enceintes du Diable. Enfin, paradisiaque pardon. Un petit air histoire de garder la foule calme.
Mais on sent comme un murmure tandis que la lumière baisse (je suis le narrateur, je fais ce que je veux, et je vous emmerde.), comme une excitation (ohé, ça va hein, c’est pas tous les jours non plus que ça arrive ici haut.), une attente. Mais de quoi bon Dieu ?
« GRANDE JUEGO FURIA TOUR ! »
Et les cieux tremblèrent de la fureur de milliers de milliers de milliers de voix. Près d’une dizaine de milliers d’années d’âmes diverses et variées mais toutes pures hurlèrent d’un même cri, déclarant ainsi une Joie intense, bref, la monstration qu’ils étaient Biens, que la disette et la non fornication, au fond, ça valait le coup (le narrateur rejette toute exagération des faits.).
Les stars furent éclairées, le son était roi. La création résonnait et c’était Bon. Le public chauffait comme une bande de pain au chocolat dans le micro-onde. Un riff surchargé soulignait le délire de la foule, c’était beau, c’était divin. Puis un contraste énorme, le silence se couronne Empereur. La lumière est unique, et la Star une.
C’était l’Heure.
Les premières notes s’élèvent dans ce concert magistral, douces.
“… I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me ‘n you... *Pointe son doigt sur une âme dans la foule. Celle-ci hurle hystérique.*
And I think to my self ... What a wonderful world.”
“ I see skies of blue, cloods of white *Doigt décrivant un arc de cercle, pointé vers le ciel*
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to my self... What a wonderful world. “
“ The colours of the rainbow, so pretty in the sky *Explosion de couleurs flashouillantes et collantes à la rétine*
Are also on the faces of people going by... *Tronche du public de toutes les couleurs*
I see friends shaking hands *Animateurs dans la foule agitant les mains*, saying “How do you do?”
They really saying “I love you.” "*Gros coeur apparaissant dans le ciel, battant quelques instants, puis disparaissant*
“ I hear babies crying, I watch them grow,
They’ll learn much more than I’ll ever know
And I think to myself... What a wonderful world.
Yeah... I think to myself... What a wonderful world... Oh... yeaah...” *Final décroissant, lumière disparaissante*
Débute alors quelques secondes plus tard un air, celui de Mai Lan – Gentiment je t’immole pour ceux que ça intéresse. Une voix de femme, un silhouette de femme, un éclairage de folie.
"Tout doux, peu importe tu viens d'où
J'tendrais pas l'autre joue, fais pas d'bourdes
Enterres ta grand mère, pense pas à la Vengeance la chienne
'Arce que si t'y tiens, penses pu à ton père...
C'pas qu'j'te préviens, j'te crie pas d'sus
J'te signale juste, Enfant du Père
Qu'la colère s'ra jamais tienne . . .
Vulgaire comme l'oubli d'une veuf,
T'ramènes à un extrème, et ça d'vient grave
Près d'une massacrante, t'en fais un ulcère
Franchement oublie la, j'sais qu'ça t'emmerde
Mais c'est mortel, bordel
Ecrase la et protège tes reufs
D'c'qui t'pousse et t'bouffe, marre
Crève ta colère, t'en porteras pas plus mal...
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles.
Eteint la bombe, respire et déploies tes ailes
Une main sur le coeur du Paternel
N'aie pas peur pour ta mère, c'est net
Respire pour ta soeur, on va la protéger
Reste zen, sont pas d'ta trempe
Obtempère, t'es un ange, merde
Appelles à l'amour, la paix, la Foi, rejette l'odeur brûlée, âcre et pourrie du napalm...
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles.
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Qu'un sentiment de retard
Tu cries comme une âme au vol
Qu'un sentiment de retard
Gentiment tu t'immoles... "
L’air et la foule manifestent leur joie dans un brouhaha incompréhensible.