08-14-2004, 03:53 PM
Bon, j'espère que la vie sous le joug de BatKING n'a pas été trop dure, dans tout les cas : We're back !
Et pour vous, en prime time, une anecdote de nos vacances, pour vous donner une idée :
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Veille de départ, Kiouioui m'emmerde avec une bouteille de 1664 (Vu ses prédispositions sexuelles, je vous laisse imaginer la nature même de l'emmerdement...), juste avant de me demander de lui décapsuler. Bien entendu je lui refuse mon canif, tout comme ma science de l'ouverture par bouteille en plastique interposée.
Voila Kiouioui mis au défi de réussir à ouvrir sa bière tout seul. Il s'escrime contre le goulot, refusant d'user de ses dents de peur d'y laisser une molaire. Soudain, et faisant preuve d'une rapidité à regresser proprement phénoménale, il essaie de la décapsuler avec des petits cailloux, en tapant dessus. Vous l'aurez deviné, ca ne fonctionne pas très bien, même si l'on peut voir naître une lueur d'espoir dans ses yeux à la vue du capuchon cabossé. Je l'observais, fasciné, lorsqu'il réalisa que taper avec une pierre sur le goulot était moins malin que de taper la bouteille sur la pierre. Enfin "moins malin", à ce niveau ca ne veut plus dire grand chose. Quelque peu effrayé par les allures préhistoriques de mon ami, je lui propose mes services de décapsuleur pro, mais l'affrontement est désormais une question d'honneur entre lui et la bouteille.
D'un seul coup, une émanation de gaz laisse entendre un pchiiit!!!. Toute l'assistance se retourne, pour contempler la capsule toujours résolument vissée sur la bouteille. Un filet de mousse s'en échappe. Malheureusement, ces quelques gouttes sont bien insuffisantes pour étancher la soif désormais vivace de Kioui, qui décide alors de sabrer la bouteille sur un rebord en béton. Las de tant de haine, la bouteille finit par céder....complètement, explosant littéralement entre les mains de notre héros. Merde, j'ai gâché la bière se dit-il, avant de voir le flot de sang qui s'épanche de deux de ses doigts aux plaies ouvertes.
Bravant l'interdit préfectoral de circulation dans le camping après 23h, on roule jusqu'au poste de garde qui nous engueule tout d'abord et nous dit que les pompiers interviennent en moins de 2 minutes n'importe où dans le camping, puis que finalement non, ils sont tous dehors et qu'on va devoir aller jusqu'a Montpellier en solo. 3h plus tard, les chipolattas de Kioui on été suturées de 5 et 3 points et nous sommes de retour au camping. Tout le monde dort, mais il nous reste à braver le mauvais sort.
Prenant mon courage et 2 bières à 2 mains, je les décapsule tandis que Kioui multiplie les signes de croix déstinés à repousser les esprits malins. Non les buvons sans encombres et pis dodo.
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Pas trop mal non ?
Ah oui, dernier détail : On était sobre lors des évènements
Et pour vous, en prime time, une anecdote de nos vacances, pour vous donner une idée :
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Veille de départ, Kiouioui m'emmerde avec une bouteille de 1664 (Vu ses prédispositions sexuelles, je vous laisse imaginer la nature même de l'emmerdement...), juste avant de me demander de lui décapsuler. Bien entendu je lui refuse mon canif, tout comme ma science de l'ouverture par bouteille en plastique interposée.
Voila Kiouioui mis au défi de réussir à ouvrir sa bière tout seul. Il s'escrime contre le goulot, refusant d'user de ses dents de peur d'y laisser une molaire. Soudain, et faisant preuve d'une rapidité à regresser proprement phénoménale, il essaie de la décapsuler avec des petits cailloux, en tapant dessus. Vous l'aurez deviné, ca ne fonctionne pas très bien, même si l'on peut voir naître une lueur d'espoir dans ses yeux à la vue du capuchon cabossé. Je l'observais, fasciné, lorsqu'il réalisa que taper avec une pierre sur le goulot était moins malin que de taper la bouteille sur la pierre. Enfin "moins malin", à ce niveau ca ne veut plus dire grand chose. Quelque peu effrayé par les allures préhistoriques de mon ami, je lui propose mes services de décapsuleur pro, mais l'affrontement est désormais une question d'honneur entre lui et la bouteille.
D'un seul coup, une émanation de gaz laisse entendre un pchiiit!!!. Toute l'assistance se retourne, pour contempler la capsule toujours résolument vissée sur la bouteille. Un filet de mousse s'en échappe. Malheureusement, ces quelques gouttes sont bien insuffisantes pour étancher la soif désormais vivace de Kioui, qui décide alors de sabrer la bouteille sur un rebord en béton. Las de tant de haine, la bouteille finit par céder....complètement, explosant littéralement entre les mains de notre héros. Merde, j'ai gâché la bière se dit-il, avant de voir le flot de sang qui s'épanche de deux de ses doigts aux plaies ouvertes.
Bravant l'interdit préfectoral de circulation dans le camping après 23h, on roule jusqu'au poste de garde qui nous engueule tout d'abord et nous dit que les pompiers interviennent en moins de 2 minutes n'importe où dans le camping, puis que finalement non, ils sont tous dehors et qu'on va devoir aller jusqu'a Montpellier en solo. 3h plus tard, les chipolattas de Kioui on été suturées de 5 et 3 points et nous sommes de retour au camping. Tout le monde dort, mais il nous reste à braver le mauvais sort.
Prenant mon courage et 2 bières à 2 mains, je les décapsule tandis que Kioui multiplie les signes de croix déstinés à repousser les esprits malins. Non les buvons sans encombres et pis dodo.
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Pas trop mal non ?
Ah oui, dernier détail : On était sobre lors des évènements