04-12-2006, 04:40 PM
Pour Srajitas, ce petit-bourgeois à la solde du grand capital, qui sous pretexte qu'il fait médecine se permet de conchier ses petits camarades prolétaires. Mais sache que lorsque ta tête se balancera au bout d'une pique, tu feras moins le malin.
Quelques petites citations de Mme Parisot, certes hors contexte et tout ce qu'on veut mais quand même ça fait toujours rigoler :
* « La liberté de penser s'arrête là où commence le code du travail », à l'Assemblée générale du MEDEF en janvier 2005.
(à quand un débat Florent Pagny/Laurence Parisot dans "100mn pour convaincre" ?)
* « La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? », Le Figaro, 30 août 2005.
* « La précarité est une loi de la condition humaine. », France Inter, 3 septembre 2005.
* « Le mot précarité est un mot à la mode qui a pour objectif de nous empêcher de réfléchir. », France Inter, 3 septembre 2005.
* « Parce que se dire ou laisser croire à tout le monde aujourd'hui en France que nous pouvons entrer dans un métier, prendre un emploi et le garder quasiment à vie, c'est de l'utopie. Ou alors c'est de la fonctionnarisation, c'est proche de l'utopie communiste et on a vu comment elle s'est terminée. », France Inter, 3 septembre 2005.
Quand on a ce niveau de reflexion politique, je trouve ça un peu aberrant de disposer d'un tel pouvoir de pression auprès d'un gouvernement...
* « L'état de jeune, c'est un passage, une maladie dont on guérit », La Tribune, 16 janvier 2006.
Donc je veux bien ne pas diaboliser le MEDEF, mais avoue qu'ils n'y mettent pas du leur...
Quelques petites citations de Mme Parisot, certes hors contexte et tout ce qu'on veut mais quand même ça fait toujours rigoler :
* « La liberté de penser s'arrête là où commence le code du travail », à l'Assemblée générale du MEDEF en janvier 2005.
(à quand un débat Florent Pagny/Laurence Parisot dans "100mn pour convaincre" ?)
* « La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? », Le Figaro, 30 août 2005.
* « La précarité est une loi de la condition humaine. », France Inter, 3 septembre 2005.
* « Le mot précarité est un mot à la mode qui a pour objectif de nous empêcher de réfléchir. », France Inter, 3 septembre 2005.
* « Parce que se dire ou laisser croire à tout le monde aujourd'hui en France que nous pouvons entrer dans un métier, prendre un emploi et le garder quasiment à vie, c'est de l'utopie. Ou alors c'est de la fonctionnarisation, c'est proche de l'utopie communiste et on a vu comment elle s'est terminée. », France Inter, 3 septembre 2005.
Quand on a ce niveau de reflexion politique, je trouve ça un peu aberrant de disposer d'un tel pouvoir de pression auprès d'un gouvernement...
* « L'état de jeune, c'est un passage, une maladie dont on guérit », La Tribune, 16 janvier 2006.
Donc je veux bien ne pas diaboliser le MEDEF, mais avoue qu'ils n'y mettent pas du leur...