03-06-2006, 06:03 PM
L’entrepôt se dressait devant moi.
Une semaine. Il m’avait laissé toute une semaine pour me faire à ce nouveau corps, qui d’ailleurs avait déjà bien vécu. Puis, cette convocation dans ce lieu lugubre à l’abri de tous pour ma première mission.
Au fond de l’entrepôt se tenait le bureau indiqué par téléphone. Je m’avançais d’un pas rapide et l’instant d’après j’étais devant la porte. Je tapais légèrement dessus puis entrai.
Le canon se posa presque immédiatement sur ma nuque tandis que la lumière s’éclairait. Un homme en face de moi derrière le bureau et un juste à côté de moi.
Mot de passe ? Ces mots venaient de celle qui était sur ma gauche. Une femme donc. Enfin, une femme …
Gneurkaliamnaflek. Bien, l’idée du mot de passe en démoniaque. Inimitable.
Aussitôt la pression du canon se fit plus lâche et on m’invita à m’asseoir.
Un dossier m’attendait de mon côté du bureau. Un sac à dos, lui, patientait contre ma chaise.
Voilà tout ce que vous avez besoin de savoir. Et tout ce dont vous aurez besoin.
Et on m’invita à me relever. Apparemment, ils ne laissent que peu de repos ici. Cela me convenait parfaitement.
Dès que je fus sorti du bureau, la lumière s’éteignit. Ils aiment bien les mises en scènes théâtrales aussi, apparemment.
Je sortis de l’entrepôt et la porte automatique se ferma derrière moi.
Un peu trop peut être.
Une heure plus tard, de retour « chez moi », j’ouvris enfin le dossier et le lus entièrement trois fois puis je le refermai. J’ouvris le sac et en sortis le pistolet mitrailleur.
Ca sera du gâteau.
J’allais me chercher 2 ou 3 bières, la soirée risquait d’être bonne.
Une semaine. Il m’avait laissé toute une semaine pour me faire à ce nouveau corps, qui d’ailleurs avait déjà bien vécu. Puis, cette convocation dans ce lieu lugubre à l’abri de tous pour ma première mission.
Au fond de l’entrepôt se tenait le bureau indiqué par téléphone. Je m’avançais d’un pas rapide et l’instant d’après j’étais devant la porte. Je tapais légèrement dessus puis entrai.
Le canon se posa presque immédiatement sur ma nuque tandis que la lumière s’éclairait. Un homme en face de moi derrière le bureau et un juste à côté de moi.
Mot de passe ? Ces mots venaient de celle qui était sur ma gauche. Une femme donc. Enfin, une femme …
Gneurkaliamnaflek. Bien, l’idée du mot de passe en démoniaque. Inimitable.
Aussitôt la pression du canon se fit plus lâche et on m’invita à m’asseoir.
Un dossier m’attendait de mon côté du bureau. Un sac à dos, lui, patientait contre ma chaise.
Voilà tout ce que vous avez besoin de savoir. Et tout ce dont vous aurez besoin.
Et on m’invita à me relever. Apparemment, ils ne laissent que peu de repos ici. Cela me convenait parfaitement.
Dès que je fus sorti du bureau, la lumière s’éteignit. Ils aiment bien les mises en scènes théâtrales aussi, apparemment.
Je sortis de l’entrepôt et la porte automatique se ferma derrière moi.
Un peu trop peut être.
Une heure plus tard, de retour « chez moi », j’ouvris enfin le dossier et le lus entièrement trois fois puis je le refermai. J’ouvris le sac et en sortis le pistolet mitrailleur.
Ca sera du gâteau.
J’allais me chercher 2 ou 3 bières, la soirée risquait d’être bonne.