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Marti... Victo' au commissariat 2, le retour.
#1
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Pour la seconde fois l'hôte de Victorious pénètre dans le commissariat. Il n'as pas rendez vous, ce coup ci.Vêtu d'un caban en feutre et de lunette de soleil, le jeune grec se glisse le plus discrètement qu'il peut dans le commissariat. A tort ou à raison, on pourrais estimer le hall d'un tel lieu bondé: après tout Immac est une ville ou les vols à la tirs, et même les échauffouré sont légion.

S'il lui est possible, le jeune homme fait mine d'attendre quelqu'un, s'assayant sur l'un des sièges normalement réservé aux visiteurs. Il as même apporté de la lecture dit donc! Bon, on s'en doute, l'informatique, c'est pas son trip. Alors il lit pas, mais fait seulement semblant de.

En lieu et place, il observe Mademoiselle Gigot, la même réceptionniste que la dernière fois, et toutes les personnes qui rentrent et sortent du commissariat. Ceux pour qui elle note quelque chose, ceux pour qui elle se montre attentive, ceux pour qui elle agit machinalement... Salut cordiale pour qui? Salut amicale pour qui d'autre?

Bref, Bouillene est dans l'immédiat simplement en répèrage.


HRP: J'ai fait 222 au jet de discrétion, mais j'ai pas eut la présence d'esprit de capturer l'écran du jet. L'idéal pour l'animation serais de le relancer pour le RP, vu que j'aimerais bien y mettre deux colonnes de malus, histoire d'avoir un RU minimume de 3. J'ai 62 en limite de discrétion, avec les lunettes de soleils et le caban, ca fait 64. Evidement toujours claustro', mais en jeu j'ais "commencé à être discret" sur le parking, à vous de voire comment le jouer.

Sortit de ca, y a la comédie du mec qui est parfaitement à sa place et qui attends (au cas ou il se fasse repérer), limite de comédie 54 (deux colonnes de malus pour la claustrophobie à retrancher.)
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#2
HRP: les jets IG, c'est le maaaaal en opé, c'est une opé, donc ça suit les règles sur table, avec une vision un peu plus... "tyrannique": vous ne savez rien normalement des jets de dés, sauf si c'est un jet crucial pour le scénar', auquel cas vous l'effectuez vous-même. Sinon, vous ne savez jamais s'il y a un jet ou non, c'est la magie du RP en somme.

Notre amie à peine assise, la planton de l'accueil, après avoir salué tout à fait cordialement un collègue, reporte son attention sur Olivier, qui assit seul, à attendre, ne peut qu'attirer l'attention. Et oui, les gens transitent dans le commissariat, il ne reste pas beaucoup à l'accueil, alors vous pensez bien, les gens qui attendent... Du coup, elle s'adresse à lui tout à fait poliment:

Monsieur, que faites-vous ici? Vous souhaitez déposer une plainte? Vous attendez quelqu'un? Vous désirez un renseignement? Vous êtes de la presse? Vous êtes venu poser votre candidature en vue d'intégrer la gendarmerie?
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#3
Devant l'avalanche de question, Olivier passe au plan B. Car il y avait un plan B! Bon, il était un peu prévu après le plan A, mais il suffiras de piocher dans le plan C pour combler les trous.

Le plan C c'est le traditionnel "on improvise"...

Bref, le grec retire ses lunettes de soleils découvrant des yeux qui se veulent fatigués. Il s'approche de la réceptionniste avec un triste sourire sur le visage:


Je vient pour une plainte...

La voix est elle aussi fatiguée, un peu comme celle d'un type malade... D'ailleurs, c'est peut être une idée, mais le teint mat méditéranéen de Bouilliène semble être un peu pâle... Comme pour attesté ça, le jeune homme place une main devant sa bouche afin de protéger sa vis à vis d'une méchante quinte de toux.

Pardon, je suis un peu malade... On m'as voler mon vélo. Il vaut cher, et j'en ais besoin pour l'entrainement.

Sans plus d'explication, il sort ses papiers d'identités. Pas de difficulté particulière, puisque c'est l'incarnation d'origine du démon. Comme s'il se doutait qu'on ne le prendrais pas au sérieux il ajoute:

C'est vraiment important, je vais me faire tuer par le coach.

Un trémolo de détresse dans la voix.
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#4
La femme lui adresse un sourire compatissant avant de dire:

Un instant, je vous prie, je vous appelle un collègue.

Elle prend son téléphone, explique le cas à son interlocuteur, puis dit à Olivier:

Mon collègue va arriver, un instant je vous prie.

Environ deux minutes plus tard, un jeune homme, noir, crâne rasé, grand, assez balèze portant l'uniforme de la gendarmerie et un grade, arrive à l'accueil. Après une brève discussion avec la planton, il se tourne vers Olivier et lui dit de sa voix grave:

Bonjour monsieur, je suis le sergent Bonnefin, vous désirez porter plainte, c'est cela? Suivez moi je vous prie!

Et il attend là que l'homme veuille bien le suivre.
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#5
Toujours le visage tiré, mais néanmoins souriant, le grec réponds:

Bonjour. Je vous suit Sergent Bonnefin...

Dés lors que le policier lui tourne le dos, le jeune homme se met à observer avec attention son environnement, surtout s'ils passent la porte que Gigot garde. Il suppose que la réceptionniste à noté quelque chose sur son livret, comme lors de leurs dernières rencontre.

Il détaille notemment toutes personnes qu'ils croisent, s'attardant éventuellement sur les gens en habit civile. A toute fin utile, il regarde également si Bonnefin à une alliance au doigt, ce qui signifirais femme, et donc futur alibi...

Si tant est qu'il le peut, le grec fait le même examen aux mains des gens qu'ils dépassent...
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#6
Les deux hommes se dirigent vers la porte par laquelle Bonnefin est arrivé, à savoir, sur la droite en entrant. Puis, rapidement, ils tournent et arrivent dans un bureau. Il y a pas mal de monde dans ce bureau, qui est plus un [i]open space, les cloisons en moins. Olivier peut remarquer que oui, la réceptionniste note quelque chose, quoi de plus normal? Que Bonnefin n'a pas d'alliance et voit pas mal de gens, mais vite, trop vite pour apprendre quoique ce soit d'utile sur eux.

Les deux hommes arrivent à un bureau, l'agent prend place du côté où on a accès à l'ordinateur qui trône dessus et surtout à son clavier, bref, côté utilisateur. C'est un bureau en bois des plus simple, non décoré. Olivier est invité à s'asseoir sur la chaise en face de l'agent. Ceci fait, l'agent lui dit:[/i]

Bien, je vous écoute Monsieur. Veuillez me présenter votre carte d'identité pour commencer puis je vais voir ce que je peux faire pour vous.

Tout cela dans le vacarme assourdissant des téléphones qui sonne, des doigts qui frappent sur le clavier, du camé deux bureaux plus loin qui hurle parce qu'il est en manque, de la jeune femme qui pleure à chaudes larmes au bureau adjacent, bref, la vie habituelle d'une gendarmerie.
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#7
Olivier montre donc sa pièce d'identité puisqu'on lui demande. Il replace sa main devant sa bouche pour masqué une nouvelle quinte de toux, puis demande:

Alors voila, on m'as dérobé un vélo de type BMC Racemaster SLX01 blanc Ultegra d'une valeur de 3000€ environ, aux environ de mon domicile en Banlieue Nord Est, à 15h47, hier... heu...

Nouvelle toux... Mmmh pas bon ca...

Heu... Je vous prit de m'excuser, mais je me sent vraiment pas bien là... vous auriez pas des toilettes?

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#8
L'agent prend note, ses doigts volant quasiment de touche en touche. Lorsque l'homme lui demande pour les toilettes, le gendarme lui répond, l'air compatissant:

Bien sûr, suivez moi! Vous voulez que j'appelle un médecin pour si jamais?
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#9
Olivier se tient le ventre l'aire gêné...

J'ai déjà vu un médecin, merci. Mais je devais venir ici... C'est vachement important... S'il vous plaît, montrez moi les toilettes... Et... Heu... Ça me gênerais que vous restiez trop devant quoi... Ça... Vas... Faire... Du... Bruit...

Hum, faut peut être aller vite...
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#10
D'un pas rapide, le gendarme le mène aux toilettes pour homme, dans lesquelles il entre également en disant:

Désolé monsieur, c'est la procédure, pour éviter tout problème, que ce soit consommation de stup' ou attaque armée. Je vous attend devant la cabine.
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