04-15-2009, 12:58 AM
Ce n'est pas une truie morte au rose vermillon. Ce ne sont pas les restes d'un restaurant
sans étoiles. Ce n'est pas un boulevard fréquenté comme des molécules d'air dans un
ballon de baudruche. Ce n'est pas une longueur d'onde proche des 465 nanomètre,
Ce n'est pas un Colt M1911, ni un cadavre de clébard, ni même de la pisse prêt des
poubelles.
"Un graffiti sur la 15ième brique grise en partant du bas d'un mur quelconque disait :
"Le présent c'est maintenant". Je n'ai aucun commentaire à ajouter la dessus.
Parfois on trouve des grafs à la con, qui vous racontent qu'un tel suçait la bite d'un autre,
ou que la taille de la deuxième dépassait parfois les normes fixées par les conventions
européennes. Je vous parle pas des grafs incompréhensibles.
Ouais le présent c'est maintenant.
Je fais partit de cet élite qui pense que buter 200 000 personnes par ans soulagerait
le pays dans sa totalité, à l'exemple des Futuristes qui pensaient qu'une bonne guerre
serait l'hygiène de la société. Une guerre de vieux, de clodo, d'eclopés, de mongoles,
ou de pourris. J'ai choisit les obèses. Voila dix ans que j'en ai fait mon affaire.
Je bute les gros, les très gros, du bloc de Saint-doux à l'abonné tracto-pelle.
Mon Journalier s'étalait ce soir au milieu de trois sacs poubelle qui sentaient la merde.
Autrement dit le gros lard ne pouvait pas se sentir dépaysé si l'on considère que la
bouffe qu'il ingurgitait se transformait déjà en daube avant même d'être digéré.
Il est crevé. Paradoxal pour une boule.
Le sang coule sur ce qui semblait lui servir de nibards mais je ne m'y trompe pas sur la
marchandise, c'est bien un homme.
Une balle suffit, je préfère éviter le folklore traditionnelle de découpage des ligaments,
écorchage, scalpe, tranches fines de barbach, énucléation des mirettes,
sciage des mains, scarification... démembrement... bite dans la bouche.
Je range mon meilleur ami dans son étuis comme dans une chatte bien étroite.
J'avance nonchalant vers une hypothétique sortie.
Quand Soudain...
Ce n'était pas Batman dans son costume porno. Ce n'était pas une goutte de pluie
sur ma narine gauche. Ce n'était pas un autre graffiti aux allures de fin du monde.
Ce n'était pas non plus deux secondes de Parkinson, ni un mauvais clignement d'oeil,
ni même une pute en robe moulante.
C'était.
sans étoiles. Ce n'est pas un boulevard fréquenté comme des molécules d'air dans un
ballon de baudruche. Ce n'est pas une longueur d'onde proche des 465 nanomètre,
Ce n'est pas un Colt M1911, ni un cadavre de clébard, ni même de la pisse prêt des
poubelles.
"Un graffiti sur la 15ième brique grise en partant du bas d'un mur quelconque disait :
"Le présent c'est maintenant". Je n'ai aucun commentaire à ajouter la dessus.
Parfois on trouve des grafs à la con, qui vous racontent qu'un tel suçait la bite d'un autre,
ou que la taille de la deuxième dépassait parfois les normes fixées par les conventions
européennes. Je vous parle pas des grafs incompréhensibles.
Ouais le présent c'est maintenant.
Je fais partit de cet élite qui pense que buter 200 000 personnes par ans soulagerait
le pays dans sa totalité, à l'exemple des Futuristes qui pensaient qu'une bonne guerre
serait l'hygiène de la société. Une guerre de vieux, de clodo, d'eclopés, de mongoles,
ou de pourris. J'ai choisit les obèses. Voila dix ans que j'en ai fait mon affaire.
Je bute les gros, les très gros, du bloc de Saint-doux à l'abonné tracto-pelle.
Mon Journalier s'étalait ce soir au milieu de trois sacs poubelle qui sentaient la merde.
Autrement dit le gros lard ne pouvait pas se sentir dépaysé si l'on considère que la
bouffe qu'il ingurgitait se transformait déjà en daube avant même d'être digéré.
Il est crevé. Paradoxal pour une boule.
Le sang coule sur ce qui semblait lui servir de nibards mais je ne m'y trompe pas sur la
marchandise, c'est bien un homme.
Une balle suffit, je préfère éviter le folklore traditionnelle de découpage des ligaments,
écorchage, scalpe, tranches fines de barbach, énucléation des mirettes,
sciage des mains, scarification... démembrement... bite dans la bouche.
Je range mon meilleur ami dans son étuis comme dans une chatte bien étroite.
J'avance nonchalant vers une hypothétique sortie.
Quand Soudain...
Ce n'était pas Batman dans son costume porno. Ce n'était pas une goutte de pluie
sur ma narine gauche. Ce n'était pas un autre graffiti aux allures de fin du monde.
Ce n'était pas non plus deux secondes de Parkinson, ni un mauvais clignement d'oeil,
ni même une pute en robe moulante.
C'était.