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JR je te merde
#11
T'ai-je à ce point mouché que tu ne veuille répondre?
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#12
Mouché ???????????????!!!!!! Confusedhock:

Qu'il est loin le jour où, par ta verve tu brillais,
Et pourtant face à moi ça requiert peu d'effort.
Ta verge quant à elle semble encore loin d'éclore
Et risque fortement de ne poindre jamais.

Je ne puis en effet apprécier tels engins,
Ce soin là je le cède aux donzelles et aux phoques,
Je préfère de loin les trompes de fallopes
Leur présence t'effraie t'elle pour les fuir à ce point ?

Pour finir je dois dire que personne ne s'est plaint
De ma façon d'aimer, de manier le gourdin.
Peux-tu en dire autant, mais oui evidemment
D'aucune femme en effet, tu n'as été l'amant...
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#13
J'aimerais bien monsieur
Vous dire quelques mots
Dont certains, oui, au mieux
Vous saisirez l'écho.

Vos attaques sournoises,
Vos insinuations,
Remplissent donc l'ardoise
Dont je suis dérision.

Sachez donc, grand sage,
Que ces piques grossières
Ternissent encor' l'image
Qui m'était familière.

Elles ne démontrent point
Vos qualités d'esprit :
Elles ne sont que le foin
Des bêtes qui en rient.

N'aurais-je donc alors
Qu'un seul vrai défaut
Ou sont-ce vos efforts,
Vains pour trouver les mots?

Vous ne sauriez comprendre
Tous les maux qui m'habitent :
Il vous faudrait reprendre
Tous vos neurones en fuite.

J'avoue, je ne suis point
L'amant d'aucun femme
Mais je ne permet point
Qu'on rie de ce vrai drame.

Car moi, monsieur, mon coeur
Me dicte la raison
Qui évite les pleurs
De mes vrais compagnons.

Je me rend compte alors
Que tout est cruauté,
Que vos dires encore
Du sadisme sont nées.

Je ne crois pas, mon cher,
Que je sois le problème.
Vous parlez en expert,
Regardez vous vous-même.

Vous êtes prisonnier
Des justices sociales.
Vous ne pouvez niez
Que votre âme est banale.

Vous n'avez point le droit
De commenter ma vie.
Vous n'êtes point si droit,
Si pur si béni.

A quoi sert donc ma flamme,
Quand je vois, sans rancoeur,
Qu'on peut avoir la femme
Quand on manque de coeur?
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#14
Vous êtes des fous,
Et pis vous sentez le caca mou
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#15

Ces mots qui te viennent ainsi,
Sont ceux d'un ennuque aigri
Et n'ont nul autre sens ma foi
Que celui de ton pauvre émoi.

Nul doute, même sans esprit
Un nouveau né aurait compris
Que la rancoeur s'est emparée,
Sournoisement de tes pensées.

Si par mes mots je t'ai blessé,
Quel drame je dois bien l'avouer,
Je ne voulais point être méchant
Ni offusquer ton âme d'enfant.

Cependant, et cela m'amuse,
Ce sont les autres que tu abuses
Dans le titre je m'aperçois
Que tu donnas le coup d'envoi.

Je ne fais que me défendre,
Même si tu ne peux entendre
La vérité que je prononce
Sans mensonge, pas même un once !

Il te faudra bien admettre
Que personne ne pouvait permettre
Que cela te rende fier,
De t'être "fait ma femme hier" !

Certains, par la main tu Très Haut,
Prétendent agir tels des héros,
En démolissant lâchement
La gare de quelques innocents.

Je ne suis pas si vaniteux
Mon seul mérite sera monsieur,
De vous avoir fait réagir
Apprenant à ne plus vomir.

Les femmes en effet n'aime pas,
Enfin, modeste, c'est c'que je crois,
Que leur prétendants ennivrés,
Sur elles concentrent leurs rejets !

Chose faite à ce qu'on ma dit,
Jeudi soir vous avez conquit,
La prochaine étape sera
De vous apprendre à faire caca.
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#16
Je ne suis point eunuque,
C'est là tout mon malheur.
Mon sexe je l'éduque
N'importe où, à toute heure.

Je ne suis point aigri,
Loin s'en faut mon ami
Car quand mon ciel est gris,
J'en parle et puis j'en rie.

Ma rancoeur, voyez-vous,
N'est point que vous sachiez,
Mieux que moi après tout,
Aux femmes vous confier.

C'est qu'il vous soit permis
De croire un seul instant
Que je sois pour ceci
Plus risible qu'aimant.

Quant à votre promise,
Il était bien aisé
De savoir, qu'à ma guise,
Lui plaire je ne sais.

Moi et votre âme soeur,
Sans jamais rien lui faire.
Vous, seul avec mon coeur,
Le piétinez à terre.

C'est là que le bas blesse,
Que vous n'avez point vu
Que votre humour en liesse
Frappe sans retenue.

J'avais cru plaisanter
Sur des faits anodins.
Vous avez pris le soin
De bien me fustiger.

Etre adulte, monsieur,
Ce n'est point de l'esprit
Mais savoir qu'il vaut mieux
Eviter le mépris.

Vous attaquer alors
A une plaie béante
Démontre sans efforts
Les démons qui vous hantent.

Quant à ce doux en-tête,
Il m'est venu ainsi :
Vous comprendrez peut-être
Qu'au fond de ma cuvette
C'est vos plaisanteries
Que j'ai cru reconnaître.
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#17
Arrow Up

Pask je l'aime trop ce thread ^^
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#18
up :lol:
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#19
Faudrai presk le deplacer dans le futur forum Fan Art mai il perderai de son charme et de sa spontaneité!

Merci a Luther et kioui qui me rappellent sans cesse le doux debut de ce jeu... Cry
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#20
Ca mérite un UP
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