Thread Rating:
  • 0 Vote(s) - 0 Average
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
toc toc toc
#1
hrp/ je me trouve actuellement en BSO, en 42/40

Gladys Gauthier était une jeune femme française, qui faisait beaucoup plus vieille que son âge, du fait de sa grande taille et de son tour de cuisse qui faisait d'elle plus une championne de lancer de poids de l'ex-RDA qu'une bimbo de playboy. Cependant, elle avait fait des frais pour l'occasion : robe, hauts talons, collier.
Elle reprit son souffle et sortit un papier de son sac : "Carole Rademaecke, 2 rue du 4 octobre". Elle vérifia l'adresse. Pas de doute.
Elle se rajusta une seconde, puis frappa aussi doucement qu'elle le put (donc comme un ours) :


Toc, toc ?
Reply
#2
[hrp]c'est un immeuble à priori y a plutôt un interphone[/hrp]

après quelques instants, l'interphone grésille et une voix féminine se fait entendre.

Oui, qui est-ce?
Reply
#3
_ Oui, Carole Rademaecke ? C'est Gladys Gauthier. Je travaille pour votre société d'assurance, je viens pour votre hotel. Vous serait-il possible de me recevoir un bref moment s'il vous plait ?
Reply
#4
Dzzzzz (bruit de l'interphone)

Oui deuxième gauche

Dzzzzz, clac
Reply
#5
La jeune femme monte les deux étages sans se presser et prend à gauche. Elle frappe à la porte, affichant un sourire poli à l'oeil de verre de la porte. Son cabas de commerce est posé contre le mur et est invisible de l'oeil.
Reply
#6
Carole ouvre la porte et fait entrer la jeune femme dans un salon.

Elle se dirige vers le salon et invite la personne à s'installer dans un fauteil.

Tout en faisant cela, elle s'informe de la raison de la visite d'un représentant de l'assurance
Reply
#7
Hj/ S'il y a un truc que je ne peux pas faire pour une raison x ou parce que j'ai loupé mon jet d'acrobatie contre les tapis à +5, n'hésitez pas à me prévenir ! Je modifierai bien sûr mon comportement et le texte en fonction

La jeune femme attendit patiemment que son hôte se retourne vers ce qu'elle supposait être le salon. Elle fit marche arrière pour récupérer son cabas de commerce et fermer la porte, puis, se jetant tel un chat sur une souris, sortit son arme de poing et en donna un gros coup de crosse sur la nuque de la femme...

Elle profita des quelques instants où sa victime était assomé pour trouver un bout de ficelle ou du scotch ou n'importe quoi dans le salon afin de l'attacher sur une chaise, sans jamais oublier de la braquer de son arme une seconde.

Une fois cette besogne de fait, elle s'installa sur le canapé, face à la proprio, et attendit patiemment qu'elle se réveille...
Reply
#8
Lorsque Carole reviens à elle quelques minutes plus tard elle est scotché à sa chaise avec du chatterton.
Elle est un peu deboussolé mais commence à s'affoler.
Elle débite un flot de parole rapide à son agresseur


Qu'est ce qui se passe, qui êtes vous?
Laissez moi partir ou je hurle!
Mon mari va rentrer d'un minute à l'autre, vous devriez partir et nous laisser tranquille
...
Reply
#9
HJ/ Serait-il possible de faire une détection de la vérité sur son histoire avec son mari ?

RP /

La jeune femme s'avança lorsque son hotage se réveilla... Lorsque celle-ci menaça de se mettre à hurler, elle se précipita, vif comme l'éclair. Elle enfonça la pointe de son canon sur le sein gauche de la femme, au niveau du coeur.

Essaye-donc ! Vas-y ! HURLE SALE PETASSE ! ALLEZ !

Se calmant un peu et reprenant son flingue

Ma mission sera finie tout de suite... Déjà, une chose : c'est moi qui pose les questions ici. N'oublie pas ça, ou je serais obligé de te le rappeler.

7 fit une pause, étudiant sa réaction et essayant de se concentrer pour voir si elle bluffe sur cet histoire de mari
Reply
#10
ouh la vilaine menteuse, en plus elle n'était pas vraiment crédible Big Grin


Carole de plus en plus pâle se calme en voyant l'arme si proche d'elle
Reply


Forum Jump:


Users browsing this thread: 6 Guest(s)