Le Beau Bar à Brian

[Benoit XVI]

Avec plaisir mon ami .
Une petite coupe pour fêter ce merveilleux moment de bonheur que tu nous a fais partager.

[freeman]

Faisant une moue devant l'appannage de "bonheur" qui se trame ici, Freeman se dirige discretement jusqu'au comptoir, et parle a voix trés basse avec Brian.

[andras]

Andras pose sa plume et regarde en direction des anges. Son visage se crispe. Elle décide de ranger ses effets dans son sac et se relève. Elle avance vers le comptoir. Elle se pose près de Freeman. Elle le regarde et lui adresse un sourire discret. Puis elle se retourne vers Brian

Brian, tu peux me servir deux triples vodka sec ? Merci.

Elle s'adosse au comptoir, en attendant ses verres. Elle en profite pour regarder autour d'elle. Son regard de glace s'arrête un instant sur les anges. Elle les méprise. C'est évident. Et les voir faire le "biens" l'insupporte. Mais elle est en un lieu neutre. Aussi se raisonne-t'elle, et se retourne vers le comptoir où Brian vient de poser ses verres. Elle en boit un cul sec. Un léger frisson la parcours. Elle aime ça. Puis se retourne et se dirige vers le Sergent Longhorn.

Sergent Longhorn je présume... Permettez moi de me présenter. Je me nomme Andras. M'accorderiez vous le plaisir de trinquer avec vous ?

Elle lui adresse un sourire en levant légèrement son verre.

[freeman]

Il observe un long moment le manège des anges aprés avoir finis sa petite discution avec Brian, et surtout aprés avoir commandé un "scotch on the Rocjk". Lorsque Andras se dirige vers lui et lui sourit, il lui rend le même visage jovial fendu d'un sourire et enfin se penche vers elle pour lui demender a mi-voix.

Que leur vaut donc de sortir le champagne ?

[Amiral Orange]

se détournant des arrivants, reprend sa conversation avec le sergent, tout en inclinant de la tête vers Freeman

Le mariage c'est une bonne occasion pour claquer un max de pognon, mais bon, ça vaut pas une bonne guerre qui monopolise jusqu'à 75% du budget d'un état. Ca c'est du vrai business. Tu fais plus de marge avec un Tomawhak qu'avec des fleurs.

[Major Longhorn]

Longhorn lève les yeux vers la séduisante jeune femme, puis se lève tout en désignant une chaise vide

Avec plaisir Madame ... Avec plaisir.... Je vous prie de m'excuser ... j'étais ailleurs. Je ne me souviens pas vous avoir vu.

Longhorn attend qu'Andras s'assoit pour se rassoir à nouveau. Il se tourne vers l'Amiral Orange

Le business de la guerre tu dis ? Mouais ... des gars qui ne savent pas ce que c'est et qui restent planqués dans leur putain d' bureau...

Se retourne vers Andras

Hum ... Pardon M'dame ... Hum ... je me demandais ... je ne vous ai jamais vu ici je crois. Vous venez d'arriver ?

[andras]

Elle s'asseoit à la table de Longhorn.

Merci Sergent. Cependant permettez moi de vous corriger, mais c'est Mademoiselle. Sinon oui, je viens d'arriver, néanmoins celà fait un petit moment que je suis ici et que je vous observe tous.

Elle épouse un rire étouffé.

Toutefois, je suis heureuse de vous rencontrer enfin Sergent, j'ai tant entendu parlé de vous. Il me tardait de vous connaître.

Elle pose son regard sur l'Amiral Orange, puis se retourne vers le Sergent.

Vous ne me présentez pas votre ami, Sergent ?

Elle porte son verre à sa bouche et, contrairement aux fois précédentes, se met à le déguster.

[Major Longhorn]

Hum pardon Mamzelle ... je vous présente "L'amiral Orange" ... "Andras"....

Quand à être mon ami, je vous avoue que nous sommes compagnons de bar pour l'instant. :wink: .

Longhorn sert un verre de scotch à Andras et Amiral Orange puis se sert un verre. Il se lève et tenant son verre
Comme ils disent à la Cavalerie :
"A nos femmes, à nos escaliers et à nos chevaux ... et surtout à ceux qui les montent"

Longhorn boit son verre cul sec puis s'en ressert un nouveau avant de se rassoir.


Mais ... vous disiez que vous avez entendu parler de moi ? Vous savez faut pas écouter les ragots ... le mieux c'est de se faire une opinion par soi même. C'est ce que j'ai toujours dis bor... bon sang... Pardon.

[andras]

Elle prends son verre et l'avale cul sec.

Amiral, je suis enchantée.

Elle lui adresse un sourire, puis continue en s'adressant à Longhorn

Vous savez Sergent, c'est justement pour celà que je suis venue ici. C'est pour me faire une opinion par moi même. Toutefois, permettez moi de vous posez une question... Vous me direz si je me trompe, mais, j'ai l'impression que ma présence cous déstabilise. Ai-je tord ?

Elle se resservi un verre et commença à le boire tout en regardant le Sergent du coin de l'oeil en attendant sa réponse.

[Benoit XVI]

Benoit se tourne vers Andas.
Qui sait , il est peut être amoureux notre sergent.