08-19-2007, 01:02 PM
Prétoria. 1979.
Sous la chaleur grandissante d’un début d’après midi en Afrique, Patrick Finkels, riche entrepreneur et opportuniste avoué ayant fait son beurre sur les diamants de sang, attend au comptoir du café Neerlend Gveklish. L’endroit se caractérise par son ambiance assez banale. L’odeur de sudation y est aussi forte que n’importe où, celle d’urine, acide et continue, indique que le bâtiment dont la façade blanche peinte à la chaux est mordue par quelques reliquats bleuâtres d’une fresque représentant un ciel azur ou la mer difficile à déterminer, est une gargote on ne peut plus commune.
La peau de Finkels déverse des litres d’eau.
Le phénomène de transpiration l’a souvent fasciné. Ne s’agit-il pas de refroidir son corps comme si ce dernier allait tellement s’échauffer qu’il en brûlerait.
Sous son chapeau de style colonial, à l’abri du léger courant d’air offert par les pâle du ventilateur de plafond qui ronronne au dessus de lui, le blanc se fait servir un troisième verre de Whisky par « Tommy ». un esclave moderne qui a perdu toute identité culturelle et que l’on nourrit d’indignation et de manque de respect pour lui et ses compatriotes.
Pour Finkels et beaucoup de membres de la petite mais grandissante société des spécialistes du diamant, l’Afrique du sud est un pays formidable.
Le taux record de criminalité en fait un endroit où tout peut arriver sans que les autorités n’y attachent une grande importance.
Il tourne les yeux vers le bois jaunit par le temps et les quelques clients ici présents. Des blancs uniquement, heureusement cette honorable institution est réservée aux êtres humains.
Il reconnaît Glomberg, qu’il salue d’un signe de la main.
Glomberg est un individu pratique. Besoin d’un homme, il en trouve un dans les quelques minutes suivant la demande. Pareil pour les femmes… Un trafiquant de chair…Si on en croit ces ringards et ces vieux hippies du contrôle sanitaire et des médecins européens.
Un entrepreneur comme un autre qui exploite une denrée accessible dans ce bon vieux pays, oui !
Si ces détracteurs touchaient ce que ce vieux Glomberg reverse sur ses comptes spéciaux aux caïmans ! Ils tiendraient un autre discours.
Finkels n’est pas raciste, selon lui. Il respecte tous les êtres humains. Mais les africains n’ont pas ce privilège à ses yeux. On ne traite pas avec eux. Est-ce qu’on offre des droits à des chiens ? Certainement pas.
Pourquoi se donner du mal ? Ils ne savent profiter de rien et se déchirent perpetuellement les uns les autres.
Tirant Finkels de sa rêverie, un individu entre dans le bar.
Grand, élancé, plutôt pâlichon ce qui indique son arrivée récente en terre africaine.
L’homme porte un large pantalon de toile et une chemise à col tout aussi large ouverte sur un torse nu.
Finkels ne l’aurait pratiquement pas remarqué si ce dernier ne s’était pas assis à sa table.
Sans un mot l’étranger avait prit une chaise et s’était placé face à lui.
Vu que le bar n’était rempli qu’au cinquième, c’était plutôt incongru.
De manière machinale, l’individu ramena sa chaise près de la table et posa ses mains dessus.
- Je peux vous aider ? demanda Finkels, un demi sourire affiché sur le visage.
Encore un de ces pauvres abrutis qui avait du entendre parler de lui et qui voulait l’entretenir des nouvelles facilités d’extractions du diamant. Il les connaissait par cœur.
L’individu le fixa une longue seconde.
Il ne prit la parole que près de deux minutes après la demande de Finkels, ce qui était troublant.
- Non.
Le diamantaire préféra finir son verre. Inutile de donner de l’attention à ce genre là.
Il commençait vraiment à faire chaud.
- Tommy, plus vite la ventilation ! ordonna Finkels depuis sa chaise.
Il lança un nouveau sourire à son nouvel ami, en haussant les sourcils.
- Fais chaud, hein…Eux ils supportent bien ça..Mais nous on est encore humain, hein ?
Il rit légèrement de sa petite boutade.
Son interlocuteur se gratta la joue avant de mettre la main dans l’une de ses poches pour en sortir un sablier.
Il le posa sur la table. Mouvement largement suivit du regard par Finkels.
Les yeux de l’étranger se braquèrent de nouveau sur ceux du britannique.
Le temps est toujours plus long par cette chaleur alors qu’on se trouvait dans une situation inédite. Et puis personne ne réagissait, c’était vraiment étrange.
- Bon… Il n’en pouvait plus. Qu’est ce que vous me voulez ?
Cette fois, c’est le bout de son nez que l’individu gratta. Mais il répondit directement de son autre main en désignant le sablier.
Finkels le regarda pour se rendre compte qu’il fallait le retourner. Tout le sable était en bas. Oh ! Une technique de négociation peut être, le type allait tourner le sablier, faire une offre alléchante et laisser le temps du sablier à Finkels pour dire oui. N’importe quoi.
Il ria nettement cette fois et prit le sablier pour le retourner lui-même, en réfléchissant à un trait d’esprit cinglant sur l’inutilité de la démarche de cette saloperie de parasite.
- Vous voyez mon vieux, je…
Finkels arrêta net son monologue au moment de son commencement. Ses yeux se baissèrent sur l’objet qui tenait au creux de sa main. IL...Ne parvenait pas à le retourner.
Il n’y avait pas de trucs. Personne ne le tenait, et le sablier n’était pas cloué à la table. On pouvait le manipuler autant que l’on voulait, mais on ne pouvait à aucun moment le retourner. Interloqué et surpris, le germe de la peur s’instilla dans la plaie béante du cœur de notre « héros ».
- Qu’est ce que ça veut dire ?Il releva les yeux vers ce sale type. Et prit conscience d’un détail troublant. Il ne transpirait pas. Comment avait-il pu l’ignorer ?
L’homme en face de lui croisait les bras, alors que tous les autres y compris Glomberg ne disaient rien et se contentaient de boire un verre.
- Je t’ai posé une question ! Finkels n’avait ni humour, ni patience. Ces deux traits de caractère reposaient dans le revolver qu’il gardait sans arrêt à la ceinture.
Oh bon sang, c’était une vraie fournaise.
- TOMMY MET PLUS FORT LA VENTILATION, PUTAIN DE MACAQUE !
La sueur ne perlait pas, elle ruisselait littéralement sur le corps de Finkels.
Sa langue était sèche.
- Et ramène moi un autre verre…rajouta-t-il soudainement harassé.
Mais Tommy ne bougeait pas. La colère monta d’un cran dans l’esprit de Finkels. Il se leva pour aller donner sa trempe à Tommy.
Mais ses jambes se dérobèrent sous lui et il s’effondra net sur le sol.
Son front heurta violemment le plancher plein de boue séchée, de poussière et probablement d’autres matières dont il valait mieux ignorer la nature.
- Mais bon sang…s’étonna t-il, en s’étouffant à moitié. La peur prenait racine et s’étendait désormais de plus en plus. Gl..Glomberg.. ! Aid..Aide moi !
Mais à l’instar de Tommy, ce bon vieux Glomberg ne bougeait pas.
Instinctivement le visage de Finkels se tourna vers l’étranger qui était le seul à le regarder. Et une conscience ancienne fit germer une idée dans le crâne de Finkels. Quelque chose de plus primitif que l’instinct. De plus ancré dans son subconscient. Une sorte de matière primordiale qui s’éveillait à la réalité.
- Q...Qui êtes vous ?
L’étranger se baissa vers Finkels.
- A quoi cela vous avancerait-il de le savoir ? Lacha t-il sur un ton implacable.
L’homme ramassa le sablier dans la main de Finkels.
- Il est arrivé à terme commenta t-il. C’est la seule chose dont vous devez vous soucier.
- Qu’est ce que ça signifie, bon dieu !?
- Que vous êtes mort.
- Hein !?
- Vous agonisez. Vous êtes en train de mourir, Patrick.
- Mais...C’est impossible !
- Vous vous pensiez immortel ?
Il ne sut quoi répondre. Oui, j’ai 34 ans, je suis riche, bientôt immensément riche, j’ai la vie devant moi, je veux vivre, alors il n’y a aucune raison que je meurs…Non ce n’était pas une bonne raison. Il ne put trouver les mots.
Il se contenta d’un :
- Qu’est ce qui va m’arriver ?
L’homme rangea le sablier dans sa poche et sans sourire répondit.
- Je vais vous remplacer.
- Pardon !?
- Je vais exploiter plus cruellement vos ressources minières et accentuer les conflits. Avec de la chance, vous…Enfin votre enveloppe corporelle deviendra immensément riche.
- N..Non attendez…Caleb.
Comment connaissait-il son nom ?!
- Je ne veux…Je ne veux pas finir en enfer.
Comment savait-il que ça allait se conclure ainsi..?
- Je crains que vous ne soyez attendu…Avec impatience.
- A..Attendez ! On peut négocier ?
Le visage de l’inconnu se transforma peu à peu, la commissure de ses lèvres se fendit en deux failles béantes ce qui rendait sa bouche disproportionnée, mais un instant seulement alors que des lacets noirs se cousaient dans les interstices nouveaux, sa peau pâle vira à l’albâtre, et ses yeux prirent une teinte nouvelle alors que qu’il exhalait désormais une large volute blanchâtre depuis sa bouche.
Le lige de Kronos le fixa de son œil à l’iris semblable à un cadran d’horlogerie.
Tic..tac
Tic..tac
Tic..tac
Le bruit de métronome du Coeur du démon retentit alors que le corps de Finkels s’agitait de soubresauts.
Les derniers mots qu’il entendu furent :
- On ne négocie pas avec ce qui n’est pas humain, n’est ce pas monsieur Finkels ?
Sous la chaleur grandissante d’un début d’après midi en Afrique, Patrick Finkels, riche entrepreneur et opportuniste avoué ayant fait son beurre sur les diamants de sang, attend au comptoir du café Neerlend Gveklish. L’endroit se caractérise par son ambiance assez banale. L’odeur de sudation y est aussi forte que n’importe où, celle d’urine, acide et continue, indique que le bâtiment dont la façade blanche peinte à la chaux est mordue par quelques reliquats bleuâtres d’une fresque représentant un ciel azur ou la mer difficile à déterminer, est une gargote on ne peut plus commune.
La peau de Finkels déverse des litres d’eau.
Le phénomène de transpiration l’a souvent fasciné. Ne s’agit-il pas de refroidir son corps comme si ce dernier allait tellement s’échauffer qu’il en brûlerait.
Sous son chapeau de style colonial, à l’abri du léger courant d’air offert par les pâle du ventilateur de plafond qui ronronne au dessus de lui, le blanc se fait servir un troisième verre de Whisky par « Tommy ». un esclave moderne qui a perdu toute identité culturelle et que l’on nourrit d’indignation et de manque de respect pour lui et ses compatriotes.
Pour Finkels et beaucoup de membres de la petite mais grandissante société des spécialistes du diamant, l’Afrique du sud est un pays formidable.
Le taux record de criminalité en fait un endroit où tout peut arriver sans que les autorités n’y attachent une grande importance.
Il tourne les yeux vers le bois jaunit par le temps et les quelques clients ici présents. Des blancs uniquement, heureusement cette honorable institution est réservée aux êtres humains.
Il reconnaît Glomberg, qu’il salue d’un signe de la main.
Glomberg est un individu pratique. Besoin d’un homme, il en trouve un dans les quelques minutes suivant la demande. Pareil pour les femmes… Un trafiquant de chair…Si on en croit ces ringards et ces vieux hippies du contrôle sanitaire et des médecins européens.
Un entrepreneur comme un autre qui exploite une denrée accessible dans ce bon vieux pays, oui !
Si ces détracteurs touchaient ce que ce vieux Glomberg reverse sur ses comptes spéciaux aux caïmans ! Ils tiendraient un autre discours.
Finkels n’est pas raciste, selon lui. Il respecte tous les êtres humains. Mais les africains n’ont pas ce privilège à ses yeux. On ne traite pas avec eux. Est-ce qu’on offre des droits à des chiens ? Certainement pas.
Pourquoi se donner du mal ? Ils ne savent profiter de rien et se déchirent perpetuellement les uns les autres.
Tirant Finkels de sa rêverie, un individu entre dans le bar.
Grand, élancé, plutôt pâlichon ce qui indique son arrivée récente en terre africaine.
L’homme porte un large pantalon de toile et une chemise à col tout aussi large ouverte sur un torse nu.
Finkels ne l’aurait pratiquement pas remarqué si ce dernier ne s’était pas assis à sa table.
Sans un mot l’étranger avait prit une chaise et s’était placé face à lui.
Vu que le bar n’était rempli qu’au cinquième, c’était plutôt incongru.
De manière machinale, l’individu ramena sa chaise près de la table et posa ses mains dessus.
- Je peux vous aider ? demanda Finkels, un demi sourire affiché sur le visage.
Encore un de ces pauvres abrutis qui avait du entendre parler de lui et qui voulait l’entretenir des nouvelles facilités d’extractions du diamant. Il les connaissait par cœur.
L’individu le fixa une longue seconde.
Il ne prit la parole que près de deux minutes après la demande de Finkels, ce qui était troublant.
- Non.
Le diamantaire préféra finir son verre. Inutile de donner de l’attention à ce genre là.
Il commençait vraiment à faire chaud.
- Tommy, plus vite la ventilation ! ordonna Finkels depuis sa chaise.
Il lança un nouveau sourire à son nouvel ami, en haussant les sourcils.
- Fais chaud, hein…Eux ils supportent bien ça..Mais nous on est encore humain, hein ?
Il rit légèrement de sa petite boutade.
Son interlocuteur se gratta la joue avant de mettre la main dans l’une de ses poches pour en sortir un sablier.
Il le posa sur la table. Mouvement largement suivit du regard par Finkels.
Les yeux de l’étranger se braquèrent de nouveau sur ceux du britannique.
Le temps est toujours plus long par cette chaleur alors qu’on se trouvait dans une situation inédite. Et puis personne ne réagissait, c’était vraiment étrange.
- Bon… Il n’en pouvait plus. Qu’est ce que vous me voulez ?
Cette fois, c’est le bout de son nez que l’individu gratta. Mais il répondit directement de son autre main en désignant le sablier.
Finkels le regarda pour se rendre compte qu’il fallait le retourner. Tout le sable était en bas. Oh ! Une technique de négociation peut être, le type allait tourner le sablier, faire une offre alléchante et laisser le temps du sablier à Finkels pour dire oui. N’importe quoi.
Il ria nettement cette fois et prit le sablier pour le retourner lui-même, en réfléchissant à un trait d’esprit cinglant sur l’inutilité de la démarche de cette saloperie de parasite.
- Vous voyez mon vieux, je…
Finkels arrêta net son monologue au moment de son commencement. Ses yeux se baissèrent sur l’objet qui tenait au creux de sa main. IL...Ne parvenait pas à le retourner.
Il n’y avait pas de trucs. Personne ne le tenait, et le sablier n’était pas cloué à la table. On pouvait le manipuler autant que l’on voulait, mais on ne pouvait à aucun moment le retourner. Interloqué et surpris, le germe de la peur s’instilla dans la plaie béante du cœur de notre « héros ».
- Qu’est ce que ça veut dire ?Il releva les yeux vers ce sale type. Et prit conscience d’un détail troublant. Il ne transpirait pas. Comment avait-il pu l’ignorer ?
L’homme en face de lui croisait les bras, alors que tous les autres y compris Glomberg ne disaient rien et se contentaient de boire un verre.
- Je t’ai posé une question ! Finkels n’avait ni humour, ni patience. Ces deux traits de caractère reposaient dans le revolver qu’il gardait sans arrêt à la ceinture.
Oh bon sang, c’était une vraie fournaise.
- TOMMY MET PLUS FORT LA VENTILATION, PUTAIN DE MACAQUE !
La sueur ne perlait pas, elle ruisselait littéralement sur le corps de Finkels.
Sa langue était sèche.
- Et ramène moi un autre verre…rajouta-t-il soudainement harassé.
Mais Tommy ne bougeait pas. La colère monta d’un cran dans l’esprit de Finkels. Il se leva pour aller donner sa trempe à Tommy.
Mais ses jambes se dérobèrent sous lui et il s’effondra net sur le sol.
Son front heurta violemment le plancher plein de boue séchée, de poussière et probablement d’autres matières dont il valait mieux ignorer la nature.
- Mais bon sang…s’étonna t-il, en s’étouffant à moitié. La peur prenait racine et s’étendait désormais de plus en plus. Gl..Glomberg.. ! Aid..Aide moi !
Mais à l’instar de Tommy, ce bon vieux Glomberg ne bougeait pas.
Instinctivement le visage de Finkels se tourna vers l’étranger qui était le seul à le regarder. Et une conscience ancienne fit germer une idée dans le crâne de Finkels. Quelque chose de plus primitif que l’instinct. De plus ancré dans son subconscient. Une sorte de matière primordiale qui s’éveillait à la réalité.
- Q...Qui êtes vous ?
L’étranger se baissa vers Finkels.
- A quoi cela vous avancerait-il de le savoir ? Lacha t-il sur un ton implacable.
L’homme ramassa le sablier dans la main de Finkels.
- Il est arrivé à terme commenta t-il. C’est la seule chose dont vous devez vous soucier.
- Qu’est ce que ça signifie, bon dieu !?
- Que vous êtes mort.
- Hein !?
- Vous agonisez. Vous êtes en train de mourir, Patrick.
- Mais...C’est impossible !
- Vous vous pensiez immortel ?
Il ne sut quoi répondre. Oui, j’ai 34 ans, je suis riche, bientôt immensément riche, j’ai la vie devant moi, je veux vivre, alors il n’y a aucune raison que je meurs…Non ce n’était pas une bonne raison. Il ne put trouver les mots.
Il se contenta d’un :
- Qu’est ce qui va m’arriver ?
L’homme rangea le sablier dans sa poche et sans sourire répondit.
- Je vais vous remplacer.
- Pardon !?
- Je vais exploiter plus cruellement vos ressources minières et accentuer les conflits. Avec de la chance, vous…Enfin votre enveloppe corporelle deviendra immensément riche.
- N..Non attendez…Caleb.
Comment connaissait-il son nom ?!
- Je ne veux…Je ne veux pas finir en enfer.
Comment savait-il que ça allait se conclure ainsi..?
- Je crains que vous ne soyez attendu…Avec impatience.
- A..Attendez ! On peut négocier ?
Le visage de l’inconnu se transforma peu à peu, la commissure de ses lèvres se fendit en deux failles béantes ce qui rendait sa bouche disproportionnée, mais un instant seulement alors que des lacets noirs se cousaient dans les interstices nouveaux, sa peau pâle vira à l’albâtre, et ses yeux prirent une teinte nouvelle alors que qu’il exhalait désormais une large volute blanchâtre depuis sa bouche.
Le lige de Kronos le fixa de son œil à l’iris semblable à un cadran d’horlogerie.
Tic..tac
Tic..tac
Tic..tac
Le bruit de métronome du Coeur du démon retentit alors que le corps de Finkels s’agitait de soubresauts.
Les derniers mots qu’il entendu furent :
- On ne négocie pas avec ce qui n’est pas humain, n’est ce pas monsieur Finkels ?