02-19-2008, 06:22 PM
Ldina se réveille. Nuit délicieuse. Elle regarde vers la droite... Et aperçoit François, ou plutôt une touffe de cheveux noirs dépassant des couvertures. Rien de plus. Elle aurait bien soulevé les couvertures, juste pour le plaisir des yeux... Non, mieux vaut qu'il dorme. Elle se retourne doucement vers la droite maintenant... Splendide vue sur le réveil qui indique 6h30. C'est l'heure... La démone se lève, délicatement, et s'habille sans faire de bruit d'une robe rouge, et porte ses bottes afin de marcher vers le bureau sans qu'il se réveille. Elle prend un feuille de papier blanche, et une plume. C'est élégant, la plume...
Pas besoin de signature. La lettre, écrite rapidement car devrait arriver la femme de François, fût posée sur la tête de celui-ci, qui se réveille lorsque sa maîtresse lui susurre quelques mots à l’oreille…
« - J’ai un cadeau pour toi…
- Oh, il ne peut qu’être plaisant alors… »
Puis, se réveillant peu à peu, il s’assied et toise la lettre, puis Ldina, et enfin le réveil. Il semble se réveiller totalement lorsqu’il déclara qu’elle ne devait pas être là à cette heure, sa femme allant revenir, elle aurait du partir plus tôt, normalement…. Ldina se met à sourire, puis dit:
« -Oh, mais je le sais.. Mais lit la lettre avant! Cela me ferait bien plaisir…
-D’accord, mais tu pars juste après… »
Il lit la lettre, et son visage affiche un air décontenancé. Lorsque la lecture se termine, il regarde tour à tour la lettre puis sa maîtresse, avant de se lever puis semble t-il, se retient de lui donner un coup.
« -Je ne dois pas me fier aux apparences, dis-tu? Très bien. Donc, tu es une sorte de monstre sans cœur. Pourquoi pas. Et tu vas faire pire? Tu vas attendre que ma femme revienne, c’est ça? Ma naïveté, comme tu dis, n’est pas aussi grande que tu le penses!! Sors d’ici tout de suite. Je vais même te montrer la porte, petite garce. Aller, viens!! »
François la tire par le poignet, mais elle tente de résister, avec difficulté… Finalement, il la prend par la taille et la force à passer la porte de la chambre. De cette porte, on peut apercevoir le jardin, et le garage. Une voiture noire, une Mercedes, venait de s’y garer… La femme de François, Maria, est de retour.
« -Putain, non… »
Il met son front contre le mur et réfléchit…
« -Bon, écoute. T’es… la factrice? Nan, stupide comme idée. T’es une collègue du bureau venue chercher des papiers. Ça peut le faire, c’est déjà arrivé… J’te file disons…. 200 euros demain, si tu le fait.
-Bon… c‘est d‘accord.»
François lui donne alors une pochette contenant des feuilles de comptabilité dont il n’avait plus besoin, puis l’amène devant la sortie. Maria regarde Ldina curieusement, la salue, et demande à son mari:
« -Mais, qui c’est elle? Jamais vue…
-Normal, une collègue de bureau. Je lui ai pris des documents lui appartenant, involontairement. Elle revient les chercher, faut bien qu’elle travaille! »
Il regarde Ldina, lui ordonnant du regard d’approuver ses paroles…
« -Effectivement! Je suis allée les chercher hier soir, et il m’a invitée à rester pour la nuit, dit-elle en souriant gentiment..
-La… la nuit? Votre voiture est tombée en panne, non? »
François jette un regard noir à la démone, qui s’en fiche complètement. Maria, elle, reste plantée devant la porte d’entrée regardant fixement son mari, alors que Ldina continue à parler…
« -Non non, ma voiture marche très bien, merci. Je vais la reprendre d’ailleurs. Mais je devrais peut-être faire le lit, je ne voulais pas vous déranger et vous imposer du rangement pas ma faute… »
Il lui coupe la parole et ajoute:
« -Mais enfin, ce n’est pas grave, je ferai le lit! Et j’ai remis correctement le canapé aussi… »
Soupir de soulagement de la part du couple. Maria pensait s‘être fait des idées, non fondées, et François pense avoir en partie sauver la situation. Jusqu’à ce que Ldina intervienne de nouveau…
« -Comment ça, le canapé? Il était bien en ordre! François, tu n’as tout de même pas remis le canapé juste pour le plaisir du rangement quand même. Je te rappelle qu’on était dans le même lit… »
Elle fait un clin d’oeil au jeune homme, lui sourit, puis ajoute:
« -Bon, c’est pas le tout, mais je te redonne ta pochette, je n’en ai pas besoin. Aurevoir tout le monde! »
Elle s’avance vers sa voiture, fait des grands gestes pour les saluer, et s’engage sur la route. En roulant, elle aperçoit le couple qui commence à se disputer, puis, contente d’elle, se dit qu’il ne lui reste plus qu’une personne à séduire, maintenant… Pour cette dernière personne, elle prévoit grand. Elle n’a pas encore de projets précis, mais elle fera en sorte que la tâche sera ardue, la personne haute placée. La ruse devra être utilisée.. Un coup de maître… De maîtresse plutôt…
Quote:Eh bien, François! Tu ne devrais pas te fier ainsi aux apparences...
Tu pensais que je t'aimais, n'est-ce pas? Héhé... Pathétique. Rend toi à l'évidence, la naïveté est un défaut dont tu n'es pas dépourvu... Oh, et figure toi que ce n'est pas fini. Le pire t'attend. Je m'en réjouis à l'idée, oui... Tu souffriras bien, je te le promet. N'en cherche pas les raisons, toi, tu n'as rien fait de mal... Tu n'as pas eu de chance, c'est tout...
Pas besoin de signature. La lettre, écrite rapidement car devrait arriver la femme de François, fût posée sur la tête de celui-ci, qui se réveille lorsque sa maîtresse lui susurre quelques mots à l’oreille…
« - J’ai un cadeau pour toi…
- Oh, il ne peut qu’être plaisant alors… »
Puis, se réveillant peu à peu, il s’assied et toise la lettre, puis Ldina, et enfin le réveil. Il semble se réveiller totalement lorsqu’il déclara qu’elle ne devait pas être là à cette heure, sa femme allant revenir, elle aurait du partir plus tôt, normalement…. Ldina se met à sourire, puis dit:
« -Oh, mais je le sais.. Mais lit la lettre avant! Cela me ferait bien plaisir…
-D’accord, mais tu pars juste après… »
Il lit la lettre, et son visage affiche un air décontenancé. Lorsque la lecture se termine, il regarde tour à tour la lettre puis sa maîtresse, avant de se lever puis semble t-il, se retient de lui donner un coup.
« -Je ne dois pas me fier aux apparences, dis-tu? Très bien. Donc, tu es une sorte de monstre sans cœur. Pourquoi pas. Et tu vas faire pire? Tu vas attendre que ma femme revienne, c’est ça? Ma naïveté, comme tu dis, n’est pas aussi grande que tu le penses!! Sors d’ici tout de suite. Je vais même te montrer la porte, petite garce. Aller, viens!! »
François la tire par le poignet, mais elle tente de résister, avec difficulté… Finalement, il la prend par la taille et la force à passer la porte de la chambre. De cette porte, on peut apercevoir le jardin, et le garage. Une voiture noire, une Mercedes, venait de s’y garer… La femme de François, Maria, est de retour.
« -Putain, non… »
Il met son front contre le mur et réfléchit…
« -Bon, écoute. T’es… la factrice? Nan, stupide comme idée. T’es une collègue du bureau venue chercher des papiers. Ça peut le faire, c’est déjà arrivé… J’te file disons…. 200 euros demain, si tu le fait.
-Bon… c‘est d‘accord.»
François lui donne alors une pochette contenant des feuilles de comptabilité dont il n’avait plus besoin, puis l’amène devant la sortie. Maria regarde Ldina curieusement, la salue, et demande à son mari:
« -Mais, qui c’est elle? Jamais vue…
-Normal, une collègue de bureau. Je lui ai pris des documents lui appartenant, involontairement. Elle revient les chercher, faut bien qu’elle travaille! »
Il regarde Ldina, lui ordonnant du regard d’approuver ses paroles…
« -Effectivement! Je suis allée les chercher hier soir, et il m’a invitée à rester pour la nuit, dit-elle en souriant gentiment..
-La… la nuit? Votre voiture est tombée en panne, non? »
François jette un regard noir à la démone, qui s’en fiche complètement. Maria, elle, reste plantée devant la porte d’entrée regardant fixement son mari, alors que Ldina continue à parler…
« -Non non, ma voiture marche très bien, merci. Je vais la reprendre d’ailleurs. Mais je devrais peut-être faire le lit, je ne voulais pas vous déranger et vous imposer du rangement pas ma faute… »
Il lui coupe la parole et ajoute:
« -Mais enfin, ce n’est pas grave, je ferai le lit! Et j’ai remis correctement le canapé aussi… »
Soupir de soulagement de la part du couple. Maria pensait s‘être fait des idées, non fondées, et François pense avoir en partie sauver la situation. Jusqu’à ce que Ldina intervienne de nouveau…
« -Comment ça, le canapé? Il était bien en ordre! François, tu n’as tout de même pas remis le canapé juste pour le plaisir du rangement quand même. Je te rappelle qu’on était dans le même lit… »
Elle fait un clin d’oeil au jeune homme, lui sourit, puis ajoute:
« -Bon, c’est pas le tout, mais je te redonne ta pochette, je n’en ai pas besoin. Aurevoir tout le monde! »
Elle s’avance vers sa voiture, fait des grands gestes pour les saluer, et s’engage sur la route. En roulant, elle aperçoit le couple qui commence à se disputer, puis, contente d’elle, se dit qu’il ne lui reste plus qu’une personne à séduire, maintenant… Pour cette dernière personne, elle prévoit grand. Elle n’a pas encore de projets précis, mais elle fera en sorte que la tâche sera ardue, la personne haute placée. La ruse devra être utilisée.. Un coup de maître… De maîtresse plutôt…