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Battitures de carbone
#1
La Vie sur l'Olympe était un rêve.
Tout n'était que fêtes, bacchanales, et si nous nous ennuyions, restait la possibilité de "descendre" parmi les humains pour s'incarner et aller courrir le guilledou dans les bosquets, en faisant bien attention aux satyres, jamais en manque d'un coup fourré.
Les dieux courraient au milieu des batiments de marbre dont les longues colonnes ouvragées projettaient au soleil couchant d'interminables ombres.
La Grèce nous innondait de ses oracles, donations, sacrifice, et sous son soleil de plomb nous degustions ses fruits et le vin de la treille.
JE préferrai pour ma part rester au sein de ma forge a fabriquer armes et outils pour les dieux : chauffé au feu de la terre je produisait les aciers les plus durs comme les bijoux les plus fins.
passant au milieu des miens serviteurs je supervisai les meilleurs artisans du monde civilisé, me réservant les plus grandes pièces ou celles necessitant un savoir faire particulier.
La forge résonnait sans discontinuer de l'impact de l'acier sur l'acier, forçant l'acier, l'or, le bronze, à se tordre sous mes doigts pour adopter des formes nouvelles, parfois aériennes, parfois monstrueuse.
Quelle époque !

Et puis est arrivé la religion des gardiens de mouton...

Insidieusement tout d'abord, arrivant des port de commerces, dans les villes.
Tant que la campagne nous restait acquise nous ne risquions rien. Puis, gagnant en assurance, les églises se sont multipliées et avec elle s'avançait masqué les bras armés de dieu, enfin, leur dieu, à ces rigoristes pisse froid à petit moyen, dont l'avarice et si grande qu'ils n'ont les moyens de n'avoir qu'un seul dieu.
Dzeus pouvait bien se gausser, tandis que je lui forgeait sa foudre, mais la défaite des monstres et autres titans par les armées de georges n'était que le prémice de notre chute.
En détruisant nos éternels rivaux, les armées du dieu unique nous détruisaient un peu.
C'est ce que nous décrouvîmes plus tard puisque ni les appels de Cassandre, ni les miens, ne furent entendus à temps...
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#2
Tout conflit commence par des escarmouches.
La guerre opposant le paradis a l'Olympe ne dérogea pas à la règle
Ce fut d'abord les invectives lancées de part et d'autres par des serviteurs humains
Puis ils en vinrent aux mains, les chrétien s'attaquant aux temples et aux pythie
Les représailles ne tardèrent pas : le spremières églises furent la proie des flammes et et les troupes angéliques, en inferiorité numérique durent faire appel aux séraphins.
Ares n'en demandait pas tant !
Tout ce que la grêce comptait de satyres, de faunes, de chimères, furent enrolés et armés. le bronze des casque, le bois des hampes, l'acier des lames et des pointes se massa en une armée difforme et effrayante. les cimiers furent prompts a s'orner de plumes et de crin.
Ares, suivant sa nature belliqueuse, envoya tout ses forces conter uen avant garde des légions Angéliques.
Ce fut un massacre
En terre étrangère, aride , les anges furent écrasés.
telle une marée d'équinoxe, les troupes chimériques renverserent les rangs ordonnés des troupes celestes.
On se battit au corps a corps avec la fureur du desespoir. Bronze et acier contre chair, crocs, aiguilles et griffes contre énergie pure.
la terre fut gorgée de sang avant que le soleil ne la seche de ses rayons ardents
Donnant la pleine mesure de sa puissance, contrairement a ce que lui demandait athena nike, Ares ne reussit qu'a attirer sur la grece l'attention de michel, georges et laurent qui, au lieu de diviser leurs forces sur divers continents, décidèrent de réduire cette poche de résistance dans cette petite grece qui se pretendait le pays natal de la démocratie...
Ares ayant dévoilé sa main, le paradis dépécha sur place la totalité de ses troupes de chocs, connaissant l'état des forces en puissance. Alors qu'athena préconaisait une guerre d'embuche, d'embuscade, de harcellement, Ares, trop sur de lui, précipita encore une fois ses troupes en une redoutable mais confuse mélée.
Quel spectacle ce fut !
d'un coté les hordes de l'olympe chargeant au son des fifres des satyres, en une joyeuse mélée ou tout ce que la création comptait de bizarre et de difforme se tenait cote à cote avec la perfection des troupes de choc de l'olympe, de l'autre le mur des armées celestes telles des figures d'acier et de bronze reflétant les rayons du soleil grec [à suivre]
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#3
tandis que s'affrontaient la pietaille se déchirant par tous les moyens disponibles et imaginables, les lieutenants des armées rivalisaient de magie de combat. la foudre percutait le sol à un rythme soutenu, le sol n'avait de cesse de trembler, et tandis que se déchainaient les éléments, il fallait bien constater que la folie de la guerre propre à Ares avait gagné le coeur des combattants, qui s'ils eussent été conscient du maelström ambiant, se seraient enfuis.
archers et frondeurs s'affrontaient à distance, et les billes de plomb rnedaient coup pour coup aux fers des fleches. depuis des heures déjà l'acier dechire le bronze des cuirasses et griffes et crocs ouvrent les mailles
les hommes et les betes tombent comme le blé mur sous la faux du moissonneur
c'est alors qu'ennivré par la bataille, Ares entre en jeu, dévastant sous les roues de son char de guerre, ennemis comme amis, creusant un sillon ensanglanté.
Georges et laurent à leur tour entrent en jeu et se dirigent vers leur ennemi
sous un ciel noir de charbon, alors que les belligérants avaient laché la bride à leur pouvoir, s'affrontaient élémentaires, énergies brutes,...
le choc des chefs d'armé fut ressenti bien au dela des frontière de la grece.
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