01-05-2008, 08:55 AM
La Vie sur l'Olympe était un rêve.
Tout n'était que fêtes, bacchanales, et si nous nous ennuyions, restait la possibilité de "descendre" parmi les humains pour s'incarner et aller courrir le guilledou dans les bosquets, en faisant bien attention aux satyres, jamais en manque d'un coup fourré.
Les dieux courraient au milieu des batiments de marbre dont les longues colonnes ouvragées projettaient au soleil couchant d'interminables ombres.
La Grèce nous innondait de ses oracles, donations, sacrifice, et sous son soleil de plomb nous degustions ses fruits et le vin de la treille.
JE préferrai pour ma part rester au sein de ma forge a fabriquer armes et outils pour les dieux : chauffé au feu de la terre je produisait les aciers les plus durs comme les bijoux les plus fins.
passant au milieu des miens serviteurs je supervisai les meilleurs artisans du monde civilisé, me réservant les plus grandes pièces ou celles necessitant un savoir faire particulier.
La forge résonnait sans discontinuer de l'impact de l'acier sur l'acier, forçant l'acier, l'or, le bronze, à se tordre sous mes doigts pour adopter des formes nouvelles, parfois aériennes, parfois monstrueuse.
Quelle époque !
Et puis est arrivé la religion des gardiens de mouton...
Insidieusement tout d'abord, arrivant des port de commerces, dans les villes.
Tant que la campagne nous restait acquise nous ne risquions rien. Puis, gagnant en assurance, les églises se sont multipliées et avec elle s'avançait masqué les bras armés de dieu, enfin, leur dieu, à ces rigoristes pisse froid à petit moyen, dont l'avarice et si grande qu'ils n'ont les moyens de n'avoir qu'un seul dieu.
Dzeus pouvait bien se gausser, tandis que je lui forgeait sa foudre, mais la défaite des monstres et autres titans par les armées de georges n'était que le prémice de notre chute.
En détruisant nos éternels rivaux, les armées du dieu unique nous détruisaient un peu.
C'est ce que nous décrouvîmes plus tard puisque ni les appels de Cassandre, ni les miens, ne furent entendus à temps...
Tout n'était que fêtes, bacchanales, et si nous nous ennuyions, restait la possibilité de "descendre" parmi les humains pour s'incarner et aller courrir le guilledou dans les bosquets, en faisant bien attention aux satyres, jamais en manque d'un coup fourré.
Les dieux courraient au milieu des batiments de marbre dont les longues colonnes ouvragées projettaient au soleil couchant d'interminables ombres.
La Grèce nous innondait de ses oracles, donations, sacrifice, et sous son soleil de plomb nous degustions ses fruits et le vin de la treille.
JE préferrai pour ma part rester au sein de ma forge a fabriquer armes et outils pour les dieux : chauffé au feu de la terre je produisait les aciers les plus durs comme les bijoux les plus fins.
passant au milieu des miens serviteurs je supervisai les meilleurs artisans du monde civilisé, me réservant les plus grandes pièces ou celles necessitant un savoir faire particulier.
La forge résonnait sans discontinuer de l'impact de l'acier sur l'acier, forçant l'acier, l'or, le bronze, à se tordre sous mes doigts pour adopter des formes nouvelles, parfois aériennes, parfois monstrueuse.
Quelle époque !
Et puis est arrivé la religion des gardiens de mouton...
Insidieusement tout d'abord, arrivant des port de commerces, dans les villes.
Tant que la campagne nous restait acquise nous ne risquions rien. Puis, gagnant en assurance, les églises se sont multipliées et avec elle s'avançait masqué les bras armés de dieu, enfin, leur dieu, à ces rigoristes pisse froid à petit moyen, dont l'avarice et si grande qu'ils n'ont les moyens de n'avoir qu'un seul dieu.
Dzeus pouvait bien se gausser, tandis que je lui forgeait sa foudre, mais la défaite des monstres et autres titans par les armées de georges n'était que le prémice de notre chute.
En détruisant nos éternels rivaux, les armées du dieu unique nous détruisaient un peu.
C'est ce que nous décrouvîmes plus tard puisque ni les appels de Cassandre, ni les miens, ne furent entendus à temps...