11-25-2004, 11:05 AM
I. Dior, j'adore.
« Mon Père, vous êtes un amour. »
La jeune fille reconnaissante agrafe son soutien-gorge en jugeant ses formes dans le miroir terne de la petite chapelle new-yorkaise qui fait office d’appartement à son interlocuteur.
« - Je.. Heu .., déglutit le jeune prêtre avec peine, en desserrant maladroitement son petit col blanc.
- Sans vos dévoués remerciements, je n’aurais sans doute jamais été au courant de ce don de vêtements de marques Hiver 2003 de part de cette comtesse de Monaco pour les défavorisés de votre paroisse. Une chance, c’est moi qui bossais à la réception des prières inutiles ce matin… »
L’index posé au creux de ses lèvres entrouvertes, elle fait son choix sur un petit top rose à manches longues et à l’inscription pailletée.
« Dior, j’adore. » lit-elle à haute voix, extirpant de la poche de son jeans moulant un joli rasoir à longue lame, dont elle se sert pour taillader deux petites fentes dans le dos de sa trouvaille.
« J’adore mais y a jamais les trous pour passer les ailes. »
La besogne terminée, elle enfile le vêtement, réajuste son auréole taille basse, et prend un air satisfait en se soupesant la poitrine. L’homme de foi, toujours choqué par l’apparition soudaine de la créature céleste qui se remodèle avec un professionnalisme impressionnant la tignasse frisée de cheveux à la blondeur indécente.
« Ben alors Padré, tu le baisses ton futal ? Un service contre un service » lance-t-elle comme si c’était une finalité évidente.
Les joues empourprées, dos collé au mur, l’ecclésiastique murmure avec gêne la seule chose qui lui vienne à l’esprit, et qu’il considérera lui-même plus tard avec honte.
« Mais.. je.. je croyais que les anges n’avait pas de.. »
L’air grave, sourcil relevé, Cathéter, jeune affiliée d'Ange, le coupe net d’un claquement du bijou de sa langue percée contre l’émail parfait de ses incisives. Clak.
« Mais t’es con ? Ca m’empeche pas de s…
- … Seigneur.»
« Mon Père, vous êtes un amour. »
La jeune fille reconnaissante agrafe son soutien-gorge en jugeant ses formes dans le miroir terne de la petite chapelle new-yorkaise qui fait office d’appartement à son interlocuteur.
« - Je.. Heu .., déglutit le jeune prêtre avec peine, en desserrant maladroitement son petit col blanc.
- Sans vos dévoués remerciements, je n’aurais sans doute jamais été au courant de ce don de vêtements de marques Hiver 2003 de part de cette comtesse de Monaco pour les défavorisés de votre paroisse. Une chance, c’est moi qui bossais à la réception des prières inutiles ce matin… »
L’index posé au creux de ses lèvres entrouvertes, elle fait son choix sur un petit top rose à manches longues et à l’inscription pailletée.
« Dior, j’adore. » lit-elle à haute voix, extirpant de la poche de son jeans moulant un joli rasoir à longue lame, dont elle se sert pour taillader deux petites fentes dans le dos de sa trouvaille.
« J’adore mais y a jamais les trous pour passer les ailes. »
La besogne terminée, elle enfile le vêtement, réajuste son auréole taille basse, et prend un air satisfait en se soupesant la poitrine. L’homme de foi, toujours choqué par l’apparition soudaine de la créature céleste qui se remodèle avec un professionnalisme impressionnant la tignasse frisée de cheveux à la blondeur indécente.
« Ben alors Padré, tu le baisses ton futal ? Un service contre un service » lance-t-elle comme si c’était une finalité évidente.
Les joues empourprées, dos collé au mur, l’ecclésiastique murmure avec gêne la seule chose qui lui vienne à l’esprit, et qu’il considérera lui-même plus tard avec honte.
« Mais.. je.. je croyais que les anges n’avait pas de.. »
L’air grave, sourcil relevé, Cathéter, jeune affiliée d'Ange, le coupe net d’un claquement du bijou de sa langue percée contre l’émail parfait de ses incisives. Clak.
« Mais t’es con ? Ca m’empeche pas de s…
- … Seigneur.»