11-22-2004, 12:20 AM
ZIC
C’est étrange comme des fois, le destin peut balayer une vie aussi facilement que le vent s’évertue à jouer avec les feuilles mortes.
La vie. Probablement qu’en ce lieu de décrépitude, elle avait perdu de sa valeur, la vie…
Elle courrait depuis près de deux heures maintenant, courrait vers l’image même de la fragilité des êtres. Quel qu’ils soient.
Un démon ? Un ange ? … Un humain ? Peu importe… La dimension d’une âme ?
C’est pas à l’ordre du jour… Mon cul, oui !
L’espoir. La seul chose qu’il lui restait en ce moment même. Cet espoir qui chaque jour, plus encore s’égarait au loin. Très loin.
La notion d’amour de l’entité quelle soit opaque comme les eaux troubles d’un étang froid ou brillante comme l’astre du jour.
Tous ont le droit d’exister et d’hésiter sur les choix que leur impose le chemin de la vie.
Les goûts se meurent petit à petit devant ces stérilités hasardeuses, ces jugements couverts par ces hérétiques pollueurs d’amour, dénués de pardon.
Le libre arbitre ??? Conception anti-céleste pour certains, lueur d’amour pour d’autres.
La filasse regardait le ciel en implorant de ses dernières forces, Dieu lui-même.
Faites que je n’arrive pas trop tard…
Les larmes ??? Oh oui des larmes, à en remplir des seaux.
Lorsqu’on est une angèle aimante, on plaint, on pleure et on se satisfait d’un simple sourire. Le développement de cet amour latent lie la personnalité de l’être à son environnement, diffusant son aura molletonnée aux êtres proches.
Certaines luttes amènent des membres alliés à se lier d’une amitié tellement pure que rien ni quiconque ne peut entraver cette attache. Rien… même la mort.
Identique à l’Âme sœur qui reflète son propre soit, le frère d’arme ressent et s’unit aux moindres pensées de sa propre existence.
Dans l’amour, dans la vie, dans la mort et le néant, rien ne séparera ces deux êtres… Rien ni même un glaive.
En soignant, les blessures de Sachiel, à leur toute première rencontre, sans même le connaître, elle avait compris… L’ouverture d’esprit que lui avait donné son maître direct et Archange Ange, la prédestinait à la compréhension de son propre équilibre. L’apprentissage de soi, passe tout d’abord par l’écoute de l’autre. Elle comprenait maintenant…
L’angele courrait toujours en arrivant sur les lieus. Elle pensait que n’était pas encore perdu.
La désillusion fut comme un coup de poignard asséné en plein cœur… Elle tressaillit en voyant ce corps étendu là, inerte à 5 mètres… Elle trébucha et tomba à genoux rampant jusqu’à lui dans un dernier effort, ignorant les membres de l’Ordre de Saint Jeremiah observant d’un regard froid ce drame.
Ces yeux se remplir de larmes. Elle plissa ses yeux délicats et éclata en sanglot les mains jointes sur son propre cœur. Elle tomba la tête sur le torse du grand gaillard blond…
Elle resta ainsi quelques minutes le temps de reprendre sa parcelle de vie laissée.
Elle prit appui sur ses mains et à 4 pattes adressa un regard noir à l’Ordre…
- Vous en avez pas marre de ressembler à vos pires ennemis ? Souhaitez la mort… Ses mots se perdait en sanglot.
La seule réponse fut un sourire narquois en coin de la part du justicier, ravi de la sentence appliquée par ce démon. Puis il disparut avec ces suivants en gardant cet oeil d’acier trempé, impassible.
Disparaissez misérables
Et La filasse resta là… Sans bouger cherchant la force de poursuivre sa voie.
HRP: Pardon pour le retard
C’est étrange comme des fois, le destin peut balayer une vie aussi facilement que le vent s’évertue à jouer avec les feuilles mortes.
La vie. Probablement qu’en ce lieu de décrépitude, elle avait perdu de sa valeur, la vie…
Elle courrait depuis près de deux heures maintenant, courrait vers l’image même de la fragilité des êtres. Quel qu’ils soient.
Un démon ? Un ange ? … Un humain ? Peu importe… La dimension d’une âme ?
C’est pas à l’ordre du jour… Mon cul, oui !
L’espoir. La seul chose qu’il lui restait en ce moment même. Cet espoir qui chaque jour, plus encore s’égarait au loin. Très loin.
La notion d’amour de l’entité quelle soit opaque comme les eaux troubles d’un étang froid ou brillante comme l’astre du jour.
Tous ont le droit d’exister et d’hésiter sur les choix que leur impose le chemin de la vie.
Les goûts se meurent petit à petit devant ces stérilités hasardeuses, ces jugements couverts par ces hérétiques pollueurs d’amour, dénués de pardon.
Le libre arbitre ??? Conception anti-céleste pour certains, lueur d’amour pour d’autres.
La filasse regardait le ciel en implorant de ses dernières forces, Dieu lui-même.
Faites que je n’arrive pas trop tard…
Les larmes ??? Oh oui des larmes, à en remplir des seaux.
Lorsqu’on est une angèle aimante, on plaint, on pleure et on se satisfait d’un simple sourire. Le développement de cet amour latent lie la personnalité de l’être à son environnement, diffusant son aura molletonnée aux êtres proches.
Certaines luttes amènent des membres alliés à se lier d’une amitié tellement pure que rien ni quiconque ne peut entraver cette attache. Rien… même la mort.
Identique à l’Âme sœur qui reflète son propre soit, le frère d’arme ressent et s’unit aux moindres pensées de sa propre existence.
Dans l’amour, dans la vie, dans la mort et le néant, rien ne séparera ces deux êtres… Rien ni même un glaive.
En soignant, les blessures de Sachiel, à leur toute première rencontre, sans même le connaître, elle avait compris… L’ouverture d’esprit que lui avait donné son maître direct et Archange Ange, la prédestinait à la compréhension de son propre équilibre. L’apprentissage de soi, passe tout d’abord par l’écoute de l’autre. Elle comprenait maintenant…
L’angele courrait toujours en arrivant sur les lieus. Elle pensait que n’était pas encore perdu.
La désillusion fut comme un coup de poignard asséné en plein cœur… Elle tressaillit en voyant ce corps étendu là, inerte à 5 mètres… Elle trébucha et tomba à genoux rampant jusqu’à lui dans un dernier effort, ignorant les membres de l’Ordre de Saint Jeremiah observant d’un regard froid ce drame.
Ces yeux se remplir de larmes. Elle plissa ses yeux délicats et éclata en sanglot les mains jointes sur son propre cœur. Elle tomba la tête sur le torse du grand gaillard blond…
Elle resta ainsi quelques minutes le temps de reprendre sa parcelle de vie laissée.
Elle prit appui sur ses mains et à 4 pattes adressa un regard noir à l’Ordre…
- Vous en avez pas marre de ressembler à vos pires ennemis ? Souhaitez la mort… Ses mots se perdait en sanglot.
La seule réponse fut un sourire narquois en coin de la part du justicier, ravi de la sentence appliquée par ce démon. Puis il disparut avec ces suivants en gardant cet oeil d’acier trempé, impassible.
Disparaissez misérables
Et La filasse resta là… Sans bouger cherchant la force de poursuivre sa voie.
HRP: Pardon pour le retard