06-05-2007, 06:50 PM
Quelque part dans Immac
Hautains. Orgueilleux même, voila ce qu’on pourrait penser des cinq étranges personnages qui l’entourait en ce moment. Pull à col roulé, chemises à flanelles, lunettes strictes, et cette démarche si droite caractéristiques d’un objet rectiligne enfoncé dans le fondement.
La marque caractéristique d’aristocrates royalistes.
Ils tournent lentement autour d’elle, sortant avec précaution leur arme, encerclant leur future victime à la manière d’une meute de loups aux abois.
Les fouets que chacun d’entre eux tiennent en main brillent dans l’obscurité du lieu, et pour cause, ce ne sont pas de simples fouets pour parties fines de libertins dégénérés, mais bien des filins en acier d’une résistance à toute épreuve, et d’un tranchant acéré.
« En garde ! Mont Joie Saint Denis, cette fois, nous allons t’occire, tudieu! HARO !
Les fouets claquent pendant qu’elle s’envole et virevolte dans les airs.
Frappe, esquive, roule, esquive, bloque, tourne, frappe, frappe, au sol, saute, évite, esquive, projette, bloque, bloque, frappe, saute…
Le sifflement des filins métalliques transperce l’air en hurlant, tandis qu’elle danse au milieu des espaces tranchés par le scintillement de métal.
Plonge, attrape, projette.
Un corps qui s’écrase contre un mur.
Saute, glisse, clé, désarme.
Un hurlement de douleur qui résonne sèchement dans la salle.
Merde.
Les cinq filins convergent vers elle à toute allure, et tout ralentit.
Esquive, esquive, esquive, esquive, esquive putain…
Le premier passe en vibrant près de son visage. Elle plonge pour éviter le deuxième qui lui coupe quelques mèches au passage.
Le troisième et le quatrième balayent le sol en se croisant, elle saute dans un mouvement impossible.
Le dernier est déjà tout près d’elle. Elle se jette en arrière en priant, le fouet, lui, claque à quelques centimètres de son œil droit.
Elle se relève en soufflant, et lance un sourire de défi à ses adversaires.
« On continue. »
Et Nyrielle d’hurler en fonçant vers eux.
Hautains. Orgueilleux même, voila ce qu’on pourrait penser des cinq étranges personnages qui l’entourait en ce moment. Pull à col roulé, chemises à flanelles, lunettes strictes, et cette démarche si droite caractéristiques d’un objet rectiligne enfoncé dans le fondement.
La marque caractéristique d’aristocrates royalistes.
Ils tournent lentement autour d’elle, sortant avec précaution leur arme, encerclant leur future victime à la manière d’une meute de loups aux abois.
Les fouets que chacun d’entre eux tiennent en main brillent dans l’obscurité du lieu, et pour cause, ce ne sont pas de simples fouets pour parties fines de libertins dégénérés, mais bien des filins en acier d’une résistance à toute épreuve, et d’un tranchant acéré.
« En garde ! Mont Joie Saint Denis, cette fois, nous allons t’occire, tudieu! HARO !
Les fouets claquent pendant qu’elle s’envole et virevolte dans les airs.
Frappe, esquive, roule, esquive, bloque, tourne, frappe, frappe, au sol, saute, évite, esquive, projette, bloque, bloque, frappe, saute…
Le sifflement des filins métalliques transperce l’air en hurlant, tandis qu’elle danse au milieu des espaces tranchés par le scintillement de métal.
Plonge, attrape, projette.
Un corps qui s’écrase contre un mur.
Saute, glisse, clé, désarme.
Un hurlement de douleur qui résonne sèchement dans la salle.
Merde.
Les cinq filins convergent vers elle à toute allure, et tout ralentit.
Esquive, esquive, esquive, esquive, esquive putain…
Le premier passe en vibrant près de son visage. Elle plonge pour éviter le deuxième qui lui coupe quelques mèches au passage.
Le troisième et le quatrième balayent le sol en se croisant, elle saute dans un mouvement impossible.
Le dernier est déjà tout près d’elle. Elle se jette en arrière en priant, le fouet, lui, claque à quelques centimètres de son œil droit.
Elle se relève en soufflant, et lance un sourire de défi à ses adversaires.
« On continue. »
Et Nyrielle d’hurler en fonçant vers eux.