04-26-2007, 11:23 AM
- Non, ne tire pas! IL va me retrouver.
- T'es vraiment un bel enfant d'salaud, mon gars. Le genre de fumier que j'aime, d'habitude. Mais tu vois, mon gars, mon boulot, c'est de coincer les merdeux dans ton genre. Les faire clamser douloureusement, et les ramener vers mon Maître. Considère moi comme un chien de guerre si tu veux.
L'homme s'alluma une cigarette. La lueur fugitive de la flamme de son allumette éclaira brièvement cet homme. Son visage dur, comme taillé à la serpe, mangé par la barbe, n'exprimait strictement auccun sentiment. Il débitait tout d'une voix morne et monocorde. Comme si rien ne pouvait empêcher sa tâche. Ce qu'il disait semblait presque accompli par avance, tant sa calme assurance s'exprimait à travers la moindre de se parole. Un sentiment d'inéductabilité de la chose.
Il tira quelques bouffées, puis reprit nonchalemment
- Tu sais, tu m'as pris du temps, pour te choper. J'ai du me taper tous les rades miteux de cette foutue ville. Chaque bar à putes aussi. Quoique là, je joignais l'utile à l'agréable.
Il montra alors sa jambe blessée à l'homme
- Et y'a pas à dire, t'es un vrai dur, toi. Pas une lavette. Quoique, je réserve mon jugement.
Il sourit cruellement
-Enfin, non, ton jugement est déjà fait, c'est celui de mon Seigneur. Disons... Mon opinion, oui, c'est ça. Mais t'étais du mauvais côté, Joe. Tu devrais savoir qu'il ne faut jamais être du mauvais côté. Tu vois, tu t'es gouré. Et ca va te couter cher. Tu vas clamser ici, dans cette ruelle dégeulasse, après que tu aies vidé tes poumons à hurler d'agonie. Sans aide, sans espoir. Seul, au fond du trou. Avec ce qui t'attends là-bas. A moins que je ne sache où tu as mis nos documents. Je te laisse une chance. Une seule.
-N... non, je ne sais pas de quoi tu parles.
-Oh, vraiment? Quel dommage...
Un affreux sourire barra son visage.
-Tu as vraiment déçu ton Maître, tu sais? C'est lui-même qui a ordonné à Monseigneur Andromalius de te retrouver. Pourtant, tu connais leurs relations... Un bel enfant d'salaud, ouai.
Il finit sa cigarette, puis l'écrasa sur le visage de l'homme à terre.
-Allons, j'ai du travail. La nuit sera longue, Joe, très longue...
- T'es vraiment un bel enfant d'salaud, mon gars. Le genre de fumier que j'aime, d'habitude. Mais tu vois, mon gars, mon boulot, c'est de coincer les merdeux dans ton genre. Les faire clamser douloureusement, et les ramener vers mon Maître. Considère moi comme un chien de guerre si tu veux.
L'homme s'alluma une cigarette. La lueur fugitive de la flamme de son allumette éclaira brièvement cet homme. Son visage dur, comme taillé à la serpe, mangé par la barbe, n'exprimait strictement auccun sentiment. Il débitait tout d'une voix morne et monocorde. Comme si rien ne pouvait empêcher sa tâche. Ce qu'il disait semblait presque accompli par avance, tant sa calme assurance s'exprimait à travers la moindre de se parole. Un sentiment d'inéductabilité de la chose.
Il tira quelques bouffées, puis reprit nonchalemment
- Tu sais, tu m'as pris du temps, pour te choper. J'ai du me taper tous les rades miteux de cette foutue ville. Chaque bar à putes aussi. Quoique là, je joignais l'utile à l'agréable.
Il montra alors sa jambe blessée à l'homme
- Et y'a pas à dire, t'es un vrai dur, toi. Pas une lavette. Quoique, je réserve mon jugement.
Il sourit cruellement
-Enfin, non, ton jugement est déjà fait, c'est celui de mon Seigneur. Disons... Mon opinion, oui, c'est ça. Mais t'étais du mauvais côté, Joe. Tu devrais savoir qu'il ne faut jamais être du mauvais côté. Tu vois, tu t'es gouré. Et ca va te couter cher. Tu vas clamser ici, dans cette ruelle dégeulasse, après que tu aies vidé tes poumons à hurler d'agonie. Sans aide, sans espoir. Seul, au fond du trou. Avec ce qui t'attends là-bas. A moins que je ne sache où tu as mis nos documents. Je te laisse une chance. Une seule.
-N... non, je ne sais pas de quoi tu parles.
-Oh, vraiment? Quel dommage...
Un affreux sourire barra son visage.
-Tu as vraiment déçu ton Maître, tu sais? C'est lui-même qui a ordonné à Monseigneur Andromalius de te retrouver. Pourtant, tu connais leurs relations... Un bel enfant d'salaud, ouai.
Il finit sa cigarette, puis l'écrasa sur le visage de l'homme à terre.
-Allons, j'ai du travail. La nuit sera longue, Joe, très longue...