07-04-2006, 11:07 PM
Les gens sont des lâches….
Ils se cachent derrière les autres…
Tout est si simple une fois caché.
Les enfants ont bon dos…
Gear pense alors a ce soldat qu’elle avait épargnée lors d’une guerre quelconque…
Elle se laisse a divaguer pour atterrir finalement sur les paroles de ce même soldat lorsque celui-ci s’apprêtait a fermer les yeux pour la dernière fois : « Pitié, j’ai un fils ! »
Après Quelques secondes, L’Angèle revînt a elle, elle laissa ses souvenirs a leurs places, en ramenant son esprit a faire une dissertation sur ces paroles : « Pitié, j’ai un fils ! » …
Ce brave se protégeait à l’aide de son fils, c’est le monde à l’envers…La nature même de l’homme consiste a protéger les autres qui sont siens et a les nourrir, une fois face a la mort, l’homme lâche, de part sa nature, mais ne voulant pas l’avouer, lance quelques dernières paroles en attendant la mort, espérant éviter l’inévitable en s’attirant la pitié d’autrui…
Ses enfants, cible facile pour n’importe qui… pourquoi ? Petit, en cours de développement physique… Les choses en réalité sont bien plus trompeuses : L’enfant possède une chose que à lui seul appartient : la pitié. L’homme se réfugie donc derrière la pitié que eux attirer un enfant a l’égard d’autrui, en disant : « J’ai un enfant ! »
Les hommes sont lâches par nature…
Cette phrase veut dire beaucoup de choses :
« Ne me tuer pas, pas pour moi, mais pour mes enfants, sans père, protecteur, que vont-ils devenirs ? »
Alors que rien que par cette phrase, la progéniture, protège son créateur…
L’homme laisse toute les responsabilités à l’enfant, qui utilise littéralement le pouvoir du mot « enfant » pour amener la pitié de l’adversaire a son esprit…
Gear se surprend alors à divaguer dans d’autres sujets, en appliquant des raisonnements de plus en plus compliqués…
Les femmes elles, ne sont pas lâches… certes les mêmes mots sont dits, mais, pas pour la même raison…
Les Femmes disent ça car elles aiment leurs enfants.
Gear fît une pause et reprenna :
Oui mais alors, elles utilisent cette phrase mythique pour revoir leur enfant, et pour l’embrassé a nouveau et donc pas pour que l’enfant revois cette parents…
La Femme serait donc lâche de par nature ?
Se mettre derrière un homme lors d’une bagarre est le stéréotype de la femme, « je suis faible, tu est fort protège moi » pas tout les temps vrais…
Elle dépose alors toutes les responsabilités sur les épaules de l’homme qui même si physiquement plus fort, ne sont que autant lâches et conclu donc que leurs honneurs est en jeu, leur honneur de mâle dominant de la famille…
On se retrouve donc au même stade que les animaux, un duel de chacal, pour s’attribuer une partie d’un territoire de chasse et une femelle.
Bref, les hommes et les animaux ne sont donc pas si différends… L’instinct maternel ou paternel est présent dans les deux cas et l’instinct de survie aussi…
La Walther se reprît alors encore a voix haute :
Tu divague ma sœur, reviens dans le sujet.
L’homme part donc se battre, sans très grandes convictions, ayant peur…
Peur de se prendre des coups et de souffrir ? Tout le monde le pense mais en fait non, la peur même lors d’un duel est de le perdre, d’être hué par la foule, ou les spectateurs ici les femmes de chaque homme du duel. L’homme gagnant repart content, s’étant mis a l’abris jusqu'à ce que un nouveau duel s’impose, ou le niveau est plus élevé…Et là, le niveau étant plus élevé, dû a la dernière victoire, la chute est forcément plus forte. Et plus dure. Cependant, l’homme pour éviter se genre de choses de se ridiculisé, a appris les règles de duel. Appelées communément règles de politesses.
Il ne faut pas se bagarrer, non, ce n’est pas politiquement correct, l’intelligence de l’homme ayant évolué, on traite alors ceux qui ne savent que se battre car issus de le dernière époque, de « barbares ».
Enfin, L’Angèle se rappela a l’ordre une troisième fois en rigolant, a voix haute en sortant de sa chambre, ou elle était allongée sur le dos et sur son lit, les mains derrière la tête, une cigarette dans la bouche :
-T’es franchement forte pour dévier les sujets toi ma pauvre fille !
Ils se cachent derrière les autres…
Tout est si simple une fois caché.
Les enfants ont bon dos…
Gear pense alors a ce soldat qu’elle avait épargnée lors d’une guerre quelconque…
Elle se laisse a divaguer pour atterrir finalement sur les paroles de ce même soldat lorsque celui-ci s’apprêtait a fermer les yeux pour la dernière fois : « Pitié, j’ai un fils ! »
Après Quelques secondes, L’Angèle revînt a elle, elle laissa ses souvenirs a leurs places, en ramenant son esprit a faire une dissertation sur ces paroles : « Pitié, j’ai un fils ! » …
Ce brave se protégeait à l’aide de son fils, c’est le monde à l’envers…La nature même de l’homme consiste a protéger les autres qui sont siens et a les nourrir, une fois face a la mort, l’homme lâche, de part sa nature, mais ne voulant pas l’avouer, lance quelques dernières paroles en attendant la mort, espérant éviter l’inévitable en s’attirant la pitié d’autrui…
Ses enfants, cible facile pour n’importe qui… pourquoi ? Petit, en cours de développement physique… Les choses en réalité sont bien plus trompeuses : L’enfant possède une chose que à lui seul appartient : la pitié. L’homme se réfugie donc derrière la pitié que eux attirer un enfant a l’égard d’autrui, en disant : « J’ai un enfant ! »
Les hommes sont lâches par nature…
Cette phrase veut dire beaucoup de choses :
« Ne me tuer pas, pas pour moi, mais pour mes enfants, sans père, protecteur, que vont-ils devenirs ? »
Alors que rien que par cette phrase, la progéniture, protège son créateur…
L’homme laisse toute les responsabilités à l’enfant, qui utilise littéralement le pouvoir du mot « enfant » pour amener la pitié de l’adversaire a son esprit…
Gear se surprend alors à divaguer dans d’autres sujets, en appliquant des raisonnements de plus en plus compliqués…
Les femmes elles, ne sont pas lâches… certes les mêmes mots sont dits, mais, pas pour la même raison…
Les Femmes disent ça car elles aiment leurs enfants.
Gear fît une pause et reprenna :
Oui mais alors, elles utilisent cette phrase mythique pour revoir leur enfant, et pour l’embrassé a nouveau et donc pas pour que l’enfant revois cette parents…
La Femme serait donc lâche de par nature ?
Se mettre derrière un homme lors d’une bagarre est le stéréotype de la femme, « je suis faible, tu est fort protège moi » pas tout les temps vrais…
Elle dépose alors toutes les responsabilités sur les épaules de l’homme qui même si physiquement plus fort, ne sont que autant lâches et conclu donc que leurs honneurs est en jeu, leur honneur de mâle dominant de la famille…
On se retrouve donc au même stade que les animaux, un duel de chacal, pour s’attribuer une partie d’un territoire de chasse et une femelle.
Bref, les hommes et les animaux ne sont donc pas si différends… L’instinct maternel ou paternel est présent dans les deux cas et l’instinct de survie aussi…
La Walther se reprît alors encore a voix haute :
Tu divague ma sœur, reviens dans le sujet.
L’homme part donc se battre, sans très grandes convictions, ayant peur…
Peur de se prendre des coups et de souffrir ? Tout le monde le pense mais en fait non, la peur même lors d’un duel est de le perdre, d’être hué par la foule, ou les spectateurs ici les femmes de chaque homme du duel. L’homme gagnant repart content, s’étant mis a l’abris jusqu'à ce que un nouveau duel s’impose, ou le niveau est plus élevé…Et là, le niveau étant plus élevé, dû a la dernière victoire, la chute est forcément plus forte. Et plus dure. Cependant, l’homme pour éviter se genre de choses de se ridiculisé, a appris les règles de duel. Appelées communément règles de politesses.
Il ne faut pas se bagarrer, non, ce n’est pas politiquement correct, l’intelligence de l’homme ayant évolué, on traite alors ceux qui ne savent que se battre car issus de le dernière époque, de « barbares ».
Enfin, L’Angèle se rappela a l’ordre une troisième fois en rigolant, a voix haute en sortant de sa chambre, ou elle était allongée sur le dos et sur son lit, les mains derrière la tête, une cigarette dans la bouche :
-T’es franchement forte pour dévier les sujets toi ma pauvre fille !