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Le Background d'un démon perdu d'avance
#1
Alors comme ca vous voulez connaitre mon histoire ? Vous avez bien raison, quitte a lire quelque chose autant lire la biographie d’un gars génial.

Toute commença il y a fort longtemps, lorsque, fier démon d’andromalius, j’étais assigné a une tache que j’adorais : convaincre et punir. Je n’étais pas un traqueur de démons, mais une fois ces derniers traqués ils finissaient, enchainés, entre mes mains, ou plutôt entre mes lames.

Vous auriez du me voir a l’époque, j’étais beau, j’étais grand, j’étais fort et je sentais bon le souffre chaud. Le démon parfait quoi. La torture c’était mon délire, et mes … compagnons de jeux finissaient toujours par délirer eux aussi. Cela a duré de nombreux siècles je servais mon maitre, j’aimais mon maitre, mon maitre m’aimais et je lui étais utile, tout allais pour le mieux dans le plus mauvais des monde. Vous connaissez tous la phrase qui va suivre, pas vrai ?

Et la, c’est le drame …
Alors que j’avais réussi à faire pleurer un gros dur quelconque, et qu’il appelais sa maman (en plus l’a jamais eu de maman, le con), je continuais, avec grand plaisir, a lui entailler le bas de la langue pour qu’il cesse de me supplier. Vous comprenez, tant qu’ils supplient ils peuvent espérer qu’on les écoute et qu’on cesse, mais une fois réduit au silence ils comprennent qu’ils vont subir leur peine comme décidé. Et, subitement, alors que j’avais toujours adoré, ce que j’étais en train de faire me révulsa.
Je fus pris de tremblements et dû lâcher mon couteau. Je le ramassais, tentais de me remettre au boulot et tout ce dont je me souviens c’est de mon supérieur venu voir ce que je faisais et qui me retrouva, prostré et tremblant. Il parait qu’il leur a fallut une semaine pour que je prononce un mot, et même alors tout ce que j’ai été capable a été « non, non, non, non, non » (mais au moins j’ai pas appelé ma maman moi …).
J’ai tenté de reprendre le travail, mais le cœur n’y était plus. Ma baisse de résultats n’a pas tardés à me mener à la rétrogradation, et le dédain se lisait sur le visage de mes camarades. En punition mon corps, autrefois grandiose et vigoureux s’est vu attribué la taille et la puissance ridicule d’un diablotin. On me retira aussi la plus grande partie de mes pouvoirs, et je sentais bien que la prochaine étape, si je continuais à me montrer aussi inutile, serait ma destruction. C’est alors qu’est arrivée la chance de ma vie : l’ascension de kobal, que je m’empressai de rejoindre. Ai-je été accepté dans ses rangs car mes talents ont été précocement détectés, pour emmerder les andromalius, ou par simple besoin d’avoir un nombre de démons je ne le sus jamais.

Son accession au rang de  Prince Démon, outre le fait d’avoir sauvé mon existence, me permis aussi de découvrir la forme de torture qui me convenais : la torture psychologique. Si cette expérience aura laissé sur moi des traces éternelles je pus tout de même comprendre que ma réaction n’avait pas été un réel rejet de la violence, mais simplement un choc face à la vacuité de cette violence. Avoir passé tous ces siècles à n’avoir marqué que des corps. Bien sur les traumatismes créés par mes séances de tortures étaient réelles, mais les démons vivant déjà dan un monde de violence cela n’avait que peu d’effet marquant.

Chez les kobal son a quand même plu de marges de manœuvres, et nettement plus satisfaisantes. Je me souviens encore avec tendresse de mon incarnation avec une couverture de psychiatre. Un mère douce et aimante m’a emmené son enfant, légèrement perturbé par la mort de son père. Usant de toute mon influence je pus aisément convaincre sa mère que son enfant as été violé, affirmation bien sur suivi d’un psychothérapie, à titre gracieux, de la mère. Une fois cette dernière entre mes griffes il a été facile de la pousser au meurtre. Lorsqu’elle tua sa victime, qu’elle ignorait être un policier, ladite victime ne pus plus être sur le dos de l’un de mes autres patients, pédophile de son état. Le père mort, la mère en prison, le policier ne faisant plus obstacle, guider mon patient vers l’enfant fut un jeu d’enfant. Un journal a reçu une lettre anonyme, lui indiquant que le meurtre avais laissé libre court au véritable criminel. Une mère qui ne se pardonnera jamais, un violeur qui est passé a l’acte, un enfant qui ne s’en remettra jamais, trois âmes de plus pour nous, des milliers de lecteurs choqués et un fou rire pour moi. Que c’est bon d’être un kobal.

Un millénaire chez kobal, il me reste tant d’incarnations a vivres, pour la cause et pour l’humour. Les andromalius me méprisent, à cause de mon passage chez eux, et je n’ai plus ni la couverture de juge démoniaque ni mes anciennes capacités physiques pour décourager mes anciennes victimes démoniaques, lors de ce passage. Il y a pourtant une chose dont je suis certain, je suis un kobal.. Mon humour et mon charisme serons mes armes, celles qui me rendent efficace et heureux,  et que je ne renierai jamais.


Je suis sur un sol dur et humide. Je ne sais plus très bien qui je suis, et encore moins ou je suis.  Cette odeur … merde, il a fallut que j’atterrisse a un endroit ou quelqu’un a pissé contre le mur, surement un drogué. Je me lève mais je suis déséquilibré, je ne comprends pas. Ah, si, j’ai plus ma queue qui gigote derrière moi. Les souvenirs, bien que très vagues, me reviennent petit à petit. Allez, gonfles tes pecs mon gars, faut aller au turbin, parce que sans turbin pas d’pépins, et sans pépins pas d’raisin. Hum … Gonfles tes pecs mon gars … étrange … … ah, tiens, je suis une femme, vachement mignonne d’ailleurs. Woaw, une cartouche de clope par terre, ça c’est cool.
Tiens, la bas aussi y’a des trucs … un slip d’homme … ca vaut plus cher ou moins cher qu’une cartouche de clope ça ? Bon, dans le bénéfice du doute je le refous par terre, j’espère qu’il était propre au moins. Allez, on va prendre encore d’autres cartouches. J’en prends une autre et encore … mince, je peux en prendre que deux ? Ah, non, pas si j’en fous une dans mon pantalon, ok, ok, je commence à comprendre comment ça marche.

Arf, j’ai trois cartouches de clopes mais pas de briquet, ça craint. Tant pis, on verra ca plus tard, il serait temps que je lise mes messages. Ok, ok, on me dit de joindre un certain **** , ce que je m’empresse de faire, sauf que les renseignements me disent que personne ne réponds a ce nom.

Bon, ce n’est pas grave, je verrai ça plus tard, je vais voir si je peux commencer a me montrer utile a kobal. Comment ça ? Séduire des gens pour les pervertir et les amener a notre cause ? Aucun souci, the show must go on Smile
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